Un passage d’une de ses leçons d’ouverture sur Pascal (la première des trois qui ont été imprimées) fit un jour beaucoup d’effet.
Et qu’on juge d’ailleurs de l’effet de cette comparaison, lorsque ces magnifiques antiquités de la poésie épique étaient les nouveautés d’une littérature dont nous sommes séparés par trois mille ans !
D’autres peuvent avoir ému davantage ; leur cri lyrique a peut-être été plus véhément, plus sincère ; leur sentimentalité peut avoir paru plus profonde ; leur sens épique des vérités humaines ou surhumaines a peut-être été plus juste ou plus « philosophique » ; mais aucun n’a plus compté sur les seuls effets du rythme poétique ou sur les ressources verbales du vocabulaire poétique pour être lyrique, sentimental ou épique.
Ici, plus direct, plus rapide, l’auteur évite les longueurs, les grisailles de Fiançailles et de la Puritaine, et cependant il ne nous épargne aucun des effets essentiels. […] Il n’exploite point la guerre, ni les soldats, ni leurs chefs, pas davantage les beaux effets ni les plus désolants.
Ne goûterais-tu pas une grande joie en constatant que les effets de la grâce te rendent invincible à ses passions ? […] Il faut bien te rendre compte de l’effet que tu produisis sur les chevaliers du Symbole.
Thomas, ce tour-là est pendable ; ta maladie vient de ce que nous avons trop peu. » Reconnaissez ici le véritable orateur : il monte jusqu’aux grands effets de style pour faire bouillir sa marmite. « Qu’on donne à ce couvent un quart d’avoine, à cet autre vingt-quatre sous, à ce moine un penny, et qu’il s’en aille : voilà ce que vous dites, mécréants que vous êtes.
Il lut au roi la requête que l’envoyé présenta à cet effet.
Car, c’est l’un des principes essentiels de la philosophie moniste et matérialiste que tout se tient dans la nature, que les effets sont inséparables des causes, que tout est pétri de la même substance.
Or la solitude et l’isolement complet du monde dans lesquels je me suis exilé ont produit sur moi l’effet de distance, d’élévation et de temps qui donnent l’impartialité presque divine au cœur des hommes solitaires.