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1228. (1893) Les œuvres et les hommes. Littérature épistolaire. XIII « Alexis de Tocqueville »

On lui savait gré, de part et d’autre, de tout ce qu’il faisait et de tout ce qu’il ne faisait pas… Marié à une femme qu’il aimait, indépendant par la fortune quand son talent ne lui aurait pas constitué une indépendance, A. de Tocqueville convient de son bonheur dans sa correspondance.

1229. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Hoffmann »

Champfleury en convient : les grosses plaisanteries d’Hoffmann dégoûtent les Allemands actuels, et le réaliste se moque de cette délicatesse.

1230. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « G.-A. Lawrence »

Il y a, en effet, ici, révélation d’un talent que l’orgueil sardanapalesque du dandysme ne doit pas laisser sans la culture qui lui convient et sans les développements qui peuvent le conduire jusqu’à la magnifique puissance du chef-d’œuvre.

1231. (1860) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (première série). I « XX. M. de Montalembert »

Mais s’il convenait de celle-là, c’était une raison pour ne pas y ajouter la sienne.

1232. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Guizot »

II Au reste, cette invention des deux Églises, qui n’est pas neuve et qui n’est pas de lui, convient parfaitement à un homme qui a passé sa vie entre deux idées, comme on reste assis par terre entre deux selles.

1233. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Gustave Rousselot  »

magnifiquement beaux… Car, il faut bien en convenir, pour être beaux les vers n’ont pas toujours et nécessairement besoin d’être vrais. — Et c’est ce qui fait le danger des poètes, ces fascinateurs !

1234. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Auguste Barbier »

c’est là, il faut en convenir, une exceptionnelle destinée.

1235. (1889) Les œuvres et les hommes. Les poètes (deuxième série). XI « Laurent Pichat »

Laurent Pichat vient, parmi eux, de gagner sa place,· — mais, il faut en convenir, Baudelaire, la mâle Ackermann, et, plus près de nous, Jean Richepin, l’auteur de La Chanson des Gueux, — qui couvait son volume des Blasphèmes, — Richepin le toréador, qui prétend traiter Dieu comme le vil taureau auquel on passe une épée à travers le ventre, Richepin qui rirait bien de Pichat avec sa religion du progrès, qui n’est que du Christianisme déplacé, sont des blasphémateurs d’un autre poing montré au ciel et d’un autre calibre de passion impie que Pichat, l’égorgeur de songes, comme il s’appelle, et le pleureur sur les légendes religieuses auxquelles il a cru, et que, du fond de sa stérile et vide raison, il a l’air de regretter encore.

1236. (1902) Les œuvres et les hommes. Le roman contemporain. XVIII « Jean Richepin »

Or, il faut convenir qu’il y en a, dans ce livre de Madame André.

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