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136. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — B — Botrel, Théodore (1868-1925) »

. — À qui le neveu, comédie en deux actes (1895). — Le Poignard d’or, comédie en un acte (1895). — Une soirée à Strasbourg (1895). — Le Noël du mousse (1895) […] — Nos bicyclettes, opérette en un acte (1895). — Le Serment de Tanguy (1896). — Le Fils de la veuve, récit de Bretagne (1896). — Celui qui frappe, légende bretonne (1897)

137. (1837) Lettres sur les écrivains français pp. -167

Mon auteur d’un acte de vaudeville est infatigable, soyez-le aussi pour me lire, mon cher Monsieur. […] Mon ami, l’auteur d’un acte de vaudeville, me dit tout bas que M.  […] Ce jugement est toujours celui de mon compatriote et ami, l’auteur d’un acte de vaudeville. […] Mais mon auteur d’un acte de vaudeville ne put rien me dire de positif, et fut contraint d’aller aux renseignements. […] Il m’a affirmé que non, pour l’honneur de son acte de vaudeville.

138. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Marsolleau, Louis (1864-1935) »

— Son petit cœur, comédie en un acte, en vers (1891). — Le Bandeau de Psyché, comédie en un acte, en vers (1894). — Les Grimaces de Paris, revue en 3 actes, avec Courteline (1894)

139. (1889) Essai sur les données immédiates de la conscience « Chapitre II. De la multiplicité des états de conscience. L’idée de durée »

Toutefois, en y regardant de plus près, on verra que toute unité est celle d’un acte simple de l’esprit, et que, cet acte consistant à unir, il faut bien que quelque multiplicité lui serve de matière. […] Comment diviserait-on l’unité, s’il s’agissait ici de cette unité définitive qui caractérise un acte simple de l’esprit ? […] Pour que l’espace naisse de leur coexistence, il faut un acte de l’esprit qui les embrasse toutes à la fois et les juxtapose ; cet acte sui generis ressemble assez à ce que Kant appelait une forme a priori de la sensibilité. […] Mais la vérité est que chacun des pas d’Achille est un acte simple, indivisible, et qu’après un nombre donné de ces actes, Achille aura dépassé la tortue. L’illusion des Éléates vient de ce qu’ils identifient cette série d’actes indivisibles et sui generis avec l’espace homogène qui les sous-tend.

140. (1895) Impressions de théâtre. Huitième série

Chacun des trois actes est, dans son lieu, une pièce entière, et ces trois actes sont d’une construction identique. […] Et c’est le premier acte. […] Le premier acte se passe dans sa boutique, le 10 août 1792. […] que le troisième acte, presque tout entier, est charmant ! […] pièce en quatre actes, de M. 

141. (1885) Le romantisme des classiques (4e éd.)

Acte V, scène VII. […] Il répondit en composant les cinq actes d’Horace avec trois ou quatre pages de Tite-Live, les cinq actes de Cinna avec deux pages de Sénèque. […] … (Acte V, scène III.) […] Nous devons aller jusqu’au cinquième acte retrouver un intérêt égal. […] — Tel est le premier acte, sorte de prologue.

142. (1896) Journal des Goncourt. Tome IX (1892-1895 et index général) « Année 1892 » pp. 3-94

Un premier acte écouté sympathiquement, un second acte, où Burguet a un très grand succès. […] Elle joue cependant trois actes pour nous. […] Second acte. […] À cet acte qui est vraiment le premier acte de la pièce, la salle prise, et le commencement des applaudissements. Le quatrième acte, l’acte se passant au journal Le Scandale, l’acte, où l’on devait culbuter la pièce, c’est un triomphe.

143. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Franklin. — II. (Suite.) » pp. 149-166

Il sent bien que c’est là le côté faible de la démocratie et de la forme de gouvernement qui en découle ; il le redira à la fin de sa vie et quand l’Amérique se sera donné sa Constitution définitive (1789) : « Nous nous sommes mis en garde contre un mal auquel les vieux États sont très sujets, l’excès de pouvoir dans les gouvernants ; mais notre danger présent semble être le défaut d’obéissance dans les gouvernés. » Enfin, au milieu des luttes politiques déjà très vives que Franklin a à soutenir dans la Chambre et dans les élections de Philadelphie, survient la nouvelle du fameux acte du Timbre (1764). […] Le nouveau ministère du marquis de Rockingham semblait s’adoucir pour l’Amérique et se décider à lui donner quelque satisfaction en retirant l’acte du Timbre : Franklin fut mandé devant la Chambre pour répondre à toutes les questions qui lui seraient faites, tant sur ce point particulier que sur la question américaine en général, soit de la part des ministres anciens et nouveaux, soit de la part de tout autre membre du Parlement. Son attitude, son sang-froid, la promptitude et la propriété de ses réponses, sa profonde connaissance de la matière et des conséquences politiques qu’elle recelait, son intrépidité à maintenir les droits de ses compatriotes, ses expressions pleines de trait et de caractère, tout contribue à faire de cet interrogatoire un des actes historiques les plus significatifs et l’un de ces grands pronostics vérifiés par l’événement : Si l’acte du Timbre était révoqué, lui demanda-t-on en finissant, cela engagerait-il les assemblées d’Amérique à reconnaître le droit du Parlement à les taxer, et annuleraient-elles leurs résolutions ? […] En pareil cas, il aimait à laisser à ses adversaires la responsabilité de l’acte par lequel on le frappait. […] Les hostilités s’allument, le sang a coulé ; il perd sa dernière étincelle d’affection pour l’antique patrie de ses pères : on ne voit plus dans tous ses actes et toutes ses pensées que l’homme et le citoyen du continent nouveau, de cet empire jeune, émancipé, immense, dont il est l’un des premiers à signer l’acte d’indépendance et à présager les grandeurs, sans plus vouloir regarder en arrière, ni reculer jamais.

144. (1889) Le théâtre contemporain. Émile Augier, Alexandre Dumas fils « Émile Augier — Chapitre III »

Ce premier acte commençait bien, quoiqu’il contienne en germe tant d’invraisemblances. […] A l’acte suivant, nous sommes en soirée chez madame de Larsy, une des bonnes amies de Caliste. […] Il est charmant, ce premier acte, habilement fait, largement posé, plein d’engagements et de promesses ; il n’a qu’un tort, celui de promettre ce que les actes suivants ne tiendront pas. Au second acte, nous sommes à Berlin, dans la maison d’exil du marquis. […] Le premier acte est une perfection.

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