Comme les murs des églises gothiques sous la poussée de la voûte, les instincts altruistes et désintéressés incarnés dans l’homme, menacent constamment de céder sous le poids des désirs égoïstement personnels.
La génération symboliste Le gros des poètes qui, sous les auspices de Paul Verlaine et de Stéphane Mallarmé, ont édifié l’église symboliste, ont pris naissance aux environs de 18645.
C’est le caractère que présageait à ses débuts Gustave Kahn, lorsqu’il parlait : Des mardis soirs de Mallarmé suivis avec tant de recueillement qu’on eût dit vraiment, dans le bon sens du mot, une chapelle à son quatrième de la rue de Rome… Oui, on eût cru, à certains soirs, être dans une de ces églises, au cinquième ou au fond d’une cour, où la manne d’une religion nouvelle était communiquée à des adeptes.
Il faut dire que l’Église est plutôt hostile que sympathique à la culture antique : elle en devine le danger, et, sans écouter certains de ses docteurs qui, comme saint Basile et saint Augustin, se montrent indulgents pour les lettres païennes, elle s’efforce de les tenir à l’écart.
Le dimanche seulement, pour aller à l’église, on lui retirait les ailes.
Le père Bouhours, l’un de ses admirateurs et de ses disciples, et qui l’assista dans ses derniers moments, a dit : Les malheurs d’autrui le touchaient plus que les siens propres, et sa charité envers les pauvres, qu’il ne pouvait voir sans les soulager, lors même qu’il n’était pas trop en état de le faire, lui a peut-être obtenu du ciel la grâce d’une longue maladie, pendant laquelle il s’est tourné tout à fait vers Dieu ; car, après avoir vécu en honnête homme et un peu en philosophe, il est mort en bon chrétien dans la participation des sacrements de l’Église et avec les sentiments d’une sincère pénitence.
Certes, dans ses relations avec le souverain pontife et avec les chefs de l’Église, Napoléon ne pouvait faire choix d’un organe ni d’un conseiller plus savant, plus pieux, plus pur, plus ferme en de certains cas, et plus doux dans le mode de résistance que ne l’était Portalis.
Encore l’architecture ramène la pensée à la vie civile, en ce sens qu’un monument est fait pour recevoir une foule en vue de tel ou tel acte et doit jusqu’à un certain point avoir le caractère qui convient à cet acte, comme il a la forme qui s’y prête, et une école ne doit pas présenter les mêmes combinaisons de lignes qu’une église ; — et la musique seule est tout à fait l’art qui permet qu’on échappe à la vie et qui aide à en sortir ; et c’est l’expression même de la rêverie.
une crinoline à cet Austère, comme les jésuites d’Espagne en mettent une à leur Christ sur la croix, ainsi que j’ai pu le constater moi-même dans leur église de Saint-Ignace de Loyola.