Les disciples entrèrent dans la vallée et allèrent à la ville acheter des provisions ; Jésus s’assit sur le bord du puits, ayant en face de lui le Garizim. […] Je crois que les païens de Galilée se trouvaient surtout aux frontières, à Kadès, par exemple, mais que le cœur même du pays, la ville de Tibériade exceptée, était tout juif. […] La côte, en particulier la ville d’Acre, ne faisaient point partie de la Galilée.
Les Carthaginois se trouvèrent dans le premier cas : le traité qu’ils avaient fait avec les Romains leur avait assuré la conservation de leur vie, de leurs biens et de leur cité ; par ce dernier mot ils entendaient la ville matérielle, les édifices, urbs dans la langue latine ; mais comme les Romains s’étaient servis dans le traité du mot civitas, qui veut dire la réunion des citoyens, la société, ils s’indignèrent que les Carthaginois refusassent d’abandonner le rivage de la mer pour habiter désormais dans les terres, ils les déclarèrent rebelles, prirent leur ville, et la mirent en cendres ; en suivant ainsi le droit héroïque, ils ne crurent point avoir fait une guerre injuste. […] L’Empereur Conrad III ayant forcé à se rendre la ville de Veinsberg qui avait soutenu son compétiteur, permit aux femmes seules d’en sortir avec tout ce qu’elles pourraient emporter ; elles chargèrent sur leur dos leurs fils, leurs maris et leurs pères.
Ses yeux se sont posés, par-delà les remparts de la vieille ville, sur l’étendue illimitée des prairies et des labours. […] « Dieu te bénira, disait au tsar Ivan le métropolite Pierre, Dieu te bénira, t’élèvera au-dessus de tous les autres princes et agrandira cette ville au-dessus de toutes les autres villes. […] En grec, l’antique Byzance s’appelle Constantinople, c’est-à-dire la ville de Constantin ; en turc, elle s’appelle Stamboul, ce qui est un barbarisme inintelligible ; en russe, elle s’appelle Tsarigrad, la ville des tsars. […] Deux fois déjà, en ce même siècle, les Russes avaient insulté, menacé la ville métropolitaine de Constantin. […] Ce jour-là, un soleil de fête rayonnait au ciel et répandait sur la ville une tiédeur par qui les âmes étaient adoucies et amollies.
DUPLEIX, [Scipion] Historiographe de France, né à Condon en 1569, mort dans la même ville en 1661 ; le premier Auteur qui ait publié en François un Ouvrage de Philosophie scholastique, & le premier Historien qui ait cité en marge les sources où il a puise les faits qu’il rapporte. […] DURIVAL, [Nicolas] Lieutenant Général Honoraire de Police de Nancy, de l’Académie de la même ville, né à Commercy en 1713.
Des baladins allaient de ville en ville jouer des farces qu’ils appelaient comédies, dont les intrigues sans vraisemblance et les situations bizarres ne servaient qu’à faire valoir la pantomime italienne.
Ils allaient isolément de ville en ville en chantant les vers d’Homère dans les fêtes et dans les foires. — 4.
Elle le fit, et ce jeune enfant a été élevé en cette ville d’Acalziké, auprès des pachas. […] Il y a deux beaux quais le long du fleuve, aussi longs que la ville, et au bout, à l’orient, un fort beau pont. […] Il y a en cette ville quantité de profondes caves, où le peuple va puiser l’eau à boire. […] Cette ville a quantité de beaux caravansérails et de belles mosquées. […] La ville compte un million d’habitants.
France, un juge dit à l’accusé : « Il te convient de souscrire à la sentence qui le condamne, car, prononcée au nom de la ville, elle est prononcée par toi-même, en tant que partie de la ville. Et tu y as une part honorable comme citoyen, et je le prouverai que tu dois être content d’être étranglé par justice… » — « En effet le contentement du tout comprend et renferme le contentement des parties et puisque tu es une partie, infime à la vérité et misérable de la noble ville de Viterbe, ta condamnation qui contente la communauté doit te contenter toi-même… Et je le démontrerai encore que tu dois estimer ton arrêt de mort aimable et décent.