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344. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 174

Il vaut cent fois mieux procurer au Public les moyens de s’instruire & de s’amuser par la lecture des bons Auteurs, que de l’ennuyer par des productions qui n’offrent le plus souvent ni l’instruction ni l’amusement.

345. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — E. — article » p. 236

Il vaut mieux laisser les Productions étrangeres dans l’oubli, quand on ne sait pas en faire un choix éclairé ou leur donner une nouvelle vie, que de les exposer à l’opprobre d’une seconde mort ; ce qui est arrivé précisément à tout ce dont M.

346. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 97

Tout le monde sait par cœur des morceaux du Ballet d’Eglé & de l’Opéra de Sylvie, dont les vers sont si naturels & si harmonieux, qu’ils font, pour ainsi dire, valoir la Musique, quoiqu’excellente par elle-même, au lieu que, pour tant d’autres, c’est la Musique qui fait supporter les Vers.

347. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 292

En effet, ses Tragédies & ses autres Poésies ne valent pas mieux que sa Poétique, dont le style, tantôt obscur & emphatique, tantôt diffus & rampant, est très-proportionné à la médiocrité des pensées, & à la foiblesse des principes.

348. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 540

Porcheres fit un Sonnet sur les yeux de la belle Gabrielle d’Estrées, qui lui valut, dit-on, quatorze cents livres de pension.

349. (1914) Une année de critique

Une telle formule de journalisme vaut ce que vaut celui qui la met en œuvre : l’écrivain retrouve la dignité que l’on ne reconnaissait plus qu’au sujet. […] Ils valent qu’on s’y arrête quelque connus qu’ils soient. […] Que vaut cette description de la passion par un homme qui ne la connut point ? […] Cette maladie passagère nous valut le théâtre « rosse » et plusieurs autres horreurs. […] Cela vaudrait mieux que de torturer méthodiquement une femme.

350. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 119

Nous ignorons fort souvent le nom de tel de nos Poëtes, dont les chansons, que nous savons par cœur, valent autant, & peut-être mieux que celles du Poëte Grec.

351. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 438

Capperonnier, [Jean] Professeur de Langue Grecque au Collége Royal, Garde de la Bibliotheque du Roi, de l’Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, né à Montdidier en Picardie, mort à Paris en 1774 ; un des Savans de nos jours qui joignent le mérite des connoissances profondes au talent de les faire valoir.

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