Ceux-ci n’ont qu’une valeur symbolique pour ainsi dire, en ce qu’ils caractérisent un état social ou un état d’âme. […] Boutmy, et dans laquelle il voyait un instrument puissant de relèvement social. […] Or, appliquées à l’organisation sociale, ces formules, en 1789, signifiaient une conception courte, grossière et pernicieuse de l’État. […] Il était heureux, au contraire, de témoigner sa sympathie pour la grande force morale et sociale du christianisme. […] Il n’était plus question que de progrès sociaux, de réformes libérales.

Nouvelle raison de réduire à néant l’idéologie imbécile qui cause et sanctionne ladite déchéance sociale. […] Il n’existait qu’en fonction d’une injustice sociale à son profit. […] Le centre du cercle sacré, le noyau de la cellule sociale c’était le coffre-fort. […] L’ensemble des rapports sociaux fait de l’homme un loup pour l’homme. […] L’ignorance systématique des problèmes culturels n’est pas mieux tolérable chez qui prétend travailler de toute sa violence à la résolution du conflit social, que le mépris du conflit social de la part de qui déclare s’intéresser, de près ou de loin, à l’examen des questions culturelles.

Ils sont, avant tout et au-dessus de tout, des êtres sociaux. […] Le maintien de la santé sociale dépend de cela. […] Même tâcher de vous élever dans l’échelle sociale n’est point blâmable de soi ; mais vous ne le faites que par vanité. […] Or, Molière, en peignant ce renversement de l’ordre social, peint-il quelque chose de vrai et de vérifiable ? […] Ici, il y a une lutte entre la convention sociale représentée par Philinte et aussi par Célimène et le mouvement naturel représenté par Alceste.

Les liens sociaux seraient vite rompus, s’ils n’étaient assujettis par des nœuds de chaînes. […] L’Espion et le Bourreau ont toujours passé pour des êtres nécessaires à l’ordre social ; ils n’en sont pas moins mis au ban des hommes, excommuniés de toute relation et de tout accueil ; ces satellites du salut public sont les réprouvés de la société qui s’en sert.

Où Balzac a-t-il appris les sciences sociales ? […] Ses voyages d’exploration, il les fait à travers le monde social. […] L’immoral c’est seulement ce qui excite au vice ; le grossier tout ce qui combat certaines idées de délicatesse, basées sur les mœurs et les usages sociaux. […] Dans les questions religieuses et sociales, les naturalistes agissent comme leurs frères les positivistes vis-à-vis des problèmes métaphysiques. […] En Angleterre, la force sociale du roman est reconnue.

Ayant donc des idées sociales (ou anti-sociales), M.  […] C’est peut-être la morale sociale qui a créé le crime et la morale sexuelle qui a créé le plaisir. […] Tous les changements sociaux que le siècle a subis proviennent du machinisme. […] Il les a réunies en un volume austère, la Synergie sociale, austère, mais non pas rébarbatif, car son esprit est clair, logique, simplificateur. […] Mazel fut longtemps le discret prieur : c’est là qu’il se fit connaître par des « affirmations » où déjà se dévoilaient ses tendances simplificatrices et son goût de la critique sociale.

— Ainsi demain, tu luiras pour la ruine de la Bête, ô soleil rouge de la Révolution sociale. […] Il se rend à Prague et propose l’alliance de tous pour la Révolution sociale. […] Zola publia l’Histoire naturelle et sociale d’une famille. […] Les préoccupations sociales l’emportent. […] Enfin il appartient à cette catégorie d’esprits qui traitent les questions sociales par la plaisanterie.

Ce n’est pas que je veuille insister ici sur la valeur morale du Polythéisme dans l’ordre social et religieux. […] Mettre en relief et en lumière, avec vigueur, justesse et précision, les vices et les ridicules individuels ou sociaux, voilà l’unique mission du satirique. […] Les tortures de la passion, les férocités et les lâchetés sociales, les âpres sanglots du désespoir, l’ironie et le dédain, tout se mêle avec force et harmonie dans ce cauchemar dantesque troué çà et là de lumineuses issues par où l’esprit s’envole vers la paix et la joie idéales. […] L’histoire de la Poésie répond à celle des phases sociales, des événements politiques et des idées religieuses ; elle en exprime le fonds mystérieux et la vie supérieure ; elle est, à vrai dire, l’histoire sacrée de la pensée humaine dans son épanouissement de lumière et d’harmonie. […] Un immense succès accueillit ce livre puissant, sorte d’encyclopédie où les questions sociales, la psychologie, l’histoire, la politique, concourent au développement de la fable romanesque et s’y mêlent en l’interrompant par de fréquentes digressions et de formidables évocations.