Il aime la nièce du père qu’il a retrouvé, il en est aimé. […] Qu’il n’ait point vis-à-vis de ce fils, retrouvé et revu après vingt années, un élan de tendresse, un signe d’affection, un tressaillement d’émotion ou de repentir, cela refuse absolument d’entrer dans l’esprit, et encore plus dans le cœur.
Elle a cru mieux, comme cela, pêcher au succès… Mais moi qui me soucie peu du succès, et qui ne vois dans une œuvre que la puissance qu’elle atteste et que le talent qu’on y a mis, j’aurais aimé à retrouver ici tout entier, dans des proportions plus larges et avec des touches plus profondes, l’esprit qui a écrit tant de pages adorables de hardiesse réussie et trouvé ce trio charmant de Mathilde, Anna et Satin de la Vie Parisienne ! […] C’est ce fauteuil-là qui est retrouvé, et c’est une femme d’esprit qui s’est blottie dans le fauteuil inventé contre le théâtre où Alfred de Musset s’est montré si charmant.
Quand on les écarte en tirant sur les deux tiges extrêmes, elles s’entrecroisent comme des X et les soldats se dispersent ; quand on les repousse l’une contre l’autre, elles se juxtaposent et les soldats se retrouvent en rangs serrés. […] Nous retrouvons bien ainsi la « contraction de Lorentz ».
Mais les défauts d’information qui sont dans le livre se retrouvent dans sa conclusion et y font masse. […] Un bon poète, chez nous, retrouve, sous la convention de mètres usuels ou usés ce que M.
Dans une telle vie cependant, toute aux arts, mais à des arts faits pour entretenir la passion, le seul intérêt touchant, la seule dignité qui pût ennoblir les transports d’une âme agitée sans cesse par la musique et la poésie, c’était la piété maternelle, la tendresse pour une fille, cette Cléis que le philosophe Maxime de Tyr avait nommée, et dont quelques vers retrouvés de Sapho nous parlent aujourd’hui : « J’ai, dit-elle, une belle jeune fille semblable, dans sa forme élégante, aux fleurs dorées, Cléis, ma chère Cléis. […] On envie Horace d’avoir pu dire : « Ils vivent encore les feux confiés à la lyre de la jeune Éolienne : … Spirat adhuc amor, Vivuntque commissi calores Æoliæ fidibus puellæ70, et de ces feux on retrouve encore quelques rayons épars dans les décombres des scoliastes.
L’observation de la société se retrouve dans des traits spirituels et dans des détails heureux bien plutôt que dans l’ensemble de l’action et dans les caractères des personnages.
Cette ribote de poésie ne s’est jamais plus retrouvée depuis ce jour-là.
Ce sont là les grandes lignes de son travail ; ce sont les cadres où doit venir s’enchâsser l’étude des grandes œuvres individuelles qui retrouveront ainsi leur place naturelle dans la série des œuvres environnantes.