Le reste ira de soi ; il ne s’en occupe pas. […] Il prétend que le public reste insensible à ces émotions et s’en retourne ennuyé, chagrin. […] Elle en sauve les quelques scènes qui sont admirables ; le reste ne compte pas. Le reste, c’est affaire d’archéologues ; le grand public n’a plus rien à y voir. […] Le comique est peut-être un peu outré ; mais il reste dans les limites de la vraisemblance.
Au reste, j’ai le droit d’ignorer d’où vient ce gâteau. […] Le reste est entre tes mains. […] Il est sage, prudent, avisé sur tout le reste. […] Au reste, le temps manque pour réfléchir. […] Et tout le reste est à l’avenant.
Tout ce qu’on pense est vrai ; la première pensée venue en vaut une autre ; ce que les mots se trouvent signifier n’est ni mauvais ni pire que ce que d’autres mots signifieraient : il ne reste donc de sûr, de solide, que l’apparence, la beauté même des mots, harmonie, couleur, forme, ce qui enivre ou charme les sens. […] Au reste, il est évident que la simplicité d’une oraison funèbre n’est pas la même que celle d’un traité de géométrie ; que Racine peut être simple autrement que Molière ; qu’une page de Lamartine ou de Victor Hugo peut être plus simple qu’une page de Delille ou de Saint-Lambert, infiniment plus plate et plus prosaïque.
On ne sait pourquoi tout d’abord, on ne sait pourquoi ensuite, mais il reste de tout ce qu’il écrit une impression profonde et qu’on n’oublie plus. […] Ne reste-t-il pas une pénétrante impression de campagne et d’été, quelque chose de très fin et de très doux ?
Il en reste des traces dans quelques poèmes des Nécroses, dans le Petit Lièvre, par exemple, et la Vache au taureau, qui est d’un naturalisme assez ferme. […] Je pense, au reste, qu’en reprenant trop finalement les traditions d’Edgar Poe et de Baudelaire, M.
« Reste la douleur. […] Les Origines du Christianisme, l’Histoire d’Israël, est-ce si peu, sans compter le reste ?
La voie est déjà grande ouverte à ces enquêtes fécondes : il reste à s’y enfoncer résolument ; il reste surtout à perfectionner les méthodes employées, à en éliminer les chances d’erreur qu’amène l’intrusion de la question de goût là où elle n’a que faire.
Elle se plaît à se confesser au tribunal suprême, parce que lui seul la peut absoudre, et peut-être aussi (reste involontaire de faiblesse !) […] Au reste, il y aurait d’autres observations intéressantes à faire sur Héloïse, par rapport à la maison solitaire où la scène se trouve placée.