Et les caractères des personnages, on nous les raconte bien, mais pour la plupart on ne les développe pas assez, par le seul procédé de développement possible : le choc des faits, pour que nous en gardions une image claire.
L’histoire du « Broyeur de, lin » est arrivée comme je la raconte.
Il raconta peut-être plus d’une circonstance dont il avait été témoin.
En vain nous dira-t-on que la Fable ou l’action de l’Epopée doit être racontée par un Poëte ; il faut entendre d’abord l’idée qu’on attache à ce mot.
que dirait le grand poëte qui a écrit sur les bleues de son pays tant de choses d’une moquerie et d’une justesse meurtrières, en voyant un bas-bleu le raconter, le traduire, l’interpréter, vouloir creuser dans son âme et dans son génie !
Seuls, les faits qu’il raconte sont implacables.
L’admirable histoire des rapports de Sixte avec Henri IV, avec l’Espagne, avec la France, avec la Ligue, est racontée par le nouvel historien, et ces rapports sont, hélas !
il passe toute sa vie à nous raconter gravement… quoi ?