/ 1423
344. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 459

Nous nous garderions bien de donner une pareille preuve en faveur de certains Ouvrages de notre siecle, qui, sans être bons, ont eu le même sort ; mais du temps du Pere Caussin, les Auteurs n’avoient pas l’adresse d’envoyer leurs Productions aux Princes étrangers : l’utilité seule en faisoit la vogue.

345. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — S — Scheffer, Robert (1889-1926) »

. — L’Idylle d’un prince (1894). — Le Chemin nuptial (1895). — La Chanson de Néos (1897). — Le Prince Narcisse (1897). — Grève d’amour (1898).

346. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIVe entretien. Mélanges »

Je m’y rendis, car bien qu’éloigné des sentiments de Lamennais en matière religieuse, j’étais et je suis toujours très-ennemi du concordat de Bonaparte assujettissant le prince aux volontés du pape, et le pape aux ordres du prince. […] Au premier mot d’un service à rendre au fils de M. de Genoude, il fut à ma disposition ; il écrivit et me remit une lettre pressante pour ce jeune homme à M. de Lévis, ministre des bienfaits du prince. Le jeune fils de M. de Genoude vint la prendre. « Allez, lui dis-je, à la cour exilée de ce jeune prince, dont votre père et moi nous avons célébré la naissance et déploré les catastrophes.

347. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre deuxième »

Il n’y eut de satisfaits que les esprits restés libres dans la querelle religieuse, et les princes qui trouvaient leur compte à ce que la satire de Rabelais affaiblit les catholiques sans fortifier les protestants, C’est pour ces esprits libres et avec l’agrément tacite des princes, que Gargantua fait bâtir l’abbaye de Thélème, dont la devise est : Fais ce que voudras. […] Son ouvrage étant la critique de tout, il y avait compris l’Église, mais sans aller au-delà de ces traits que tous les hommes éclairés, même certains princes de l’Église, se permettaient contre l’ignorance et les mœurs des ordres ecclésiastiques ; c’était l’esprit et non la théologie de la Réforme. […] Ces grandes pensées sur l’éducation, sur la paix et la guerre, sur la justice, sur les lois, sur les devoirs des princes ; ces vues si justes et si élevées sur les rapports qui lient les hommes dans une société bien réglée, sont autant de nouveautés dans la littérature française.

348. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Août 1886. »

Des étrangers notons : Liszt, qui n’a pu assister qu’aux deux premières représentations, le prince Wilhelm de Hessen, le prince héritier de Hohenlohe-Langenburg, les princes de Meiningen, M. de Puttkamer, la princesse Werra de Würtemberg, le prince et la princesse Wilhelm de Würtemberg. […] On sait que l’amphithéâtre contient 1325 places, la galerie des Princes environ 100, et la Galerie Supérieure autant : mais ces dernières places ne sont vendues que dans les cas exceptionnels d’affluence trop nombreuse, et ne sont occupées jamais qu’en nombre très restreint.

349. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article » pp. 436-437

On voit qu'en exposant les fautes des Princes, les abus de la Religion, les torts de la Nation, il n'épouse aucun parti, en sorte que l'on a de la peine à deviner quel est son sentiment, tant il est éloigné de laisser transpirer le moindre mouvement d'opposition ou d'intérêt.

350. (1872) Nouveaux lundis. Tome XIII « Appendice — Mémoires du comte d’Alton-Shée »

Il en avait une pour le prince Belgoijoso, à ce mot, le consul se récria : « Jeune homme, gardez-vous bien de faire une connaissance aussi dangereuse ; le prince est un don Juan. » En conséquence, dès le lendemain matin, M. d’Alton-Shée courait au palais Belgiojoso. Mais le prince était absent.

351. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre VIII. Suite du chapitre précédent. De la parole traditionnelle. De la parole écrite. De la lettre. Magistrature de la pensée dans ces trois âges de l’esprit humain » pp. 179-193

Pourquoi la liberté n’appartiendrait-elle pas aux gouvernements comme aux nations, et aux princes comme aux sujets ? Et alors, pourquoi s’étonner que les gouvernements et les princes fassent de temps en temps un mauvais emploi de leur liberté, quand ce ne serait que pour la constater ?

/ 1423