Mme de Sévigné eut cet honneur et ce désagrément ; elle avait beaucoup écrit au surintendant au sujet de son cousin La Trousse ; ses lettres, qui ressemblaient si peu aux autres, avaient assez charmé l’homme d’esprit dans Fouquet pour qu’il les réunît à son mystérieux trésor. […] Les précautions auxquelles il était soumis, et qui sont attestées par des lettres de Louvois, furent longtemps de la plus minutieuse rigueur : il fallut des années pour qu’on s’en relâchât peu à peu.
Je ne vous parle point politique, non que je craigne pour les lettres qui vous sont adressées les visites du Cabinet noir, mais c’est que nous nous connaissons trop pour que j’aie quelque chose à vous apprendre sur mes sentiments ou quelque curiosité à montrer sur les vôtres. […] Ce rôle est, en effet, celui que j’ai tâché de me faire, et je ne le croyais pas encore assez nettement dessiné pour qu’un autre que moi pût me l’attribuer.
Étienne y fut nommé de préférence à Alexandre Duval, et il prit séance, le 7 novembre 1811, par un discours de réception qui fut très remarqué, et où il soutenait cette thèse piquante que, quand tout serait détruit des deux derniers siècles, il suffirait que les comédies seules survécussent, pour qu’on pût deviner par elles « toutes les révolutions politiques et morales » de ces deux siècles. […] Pour que rien ne manquât aux agréments de la guerre, ce théâtre était dirigé alors par M.
Et, dans ce cas-là, il y aurait encore la question de la ressemblance et de la vérité à débattre… Mais si cette Rolande, qui est la reine de ce roman et qui doit emporter avec elle l’intérêt humain du livre, au lieu d’être un monstre social n’est plus qu’une exception, un fait particulier de tératologie, enfin un monstre individuel, le chêne n’est pas responsable des champignons vénéneux qui croissent sur ses racines et je n’ai plus rien à dire à des romanciers qui ont — selon ma poétique, à moi — le droit de tout peindre, s’ils sont vraiment des peintres puissants… Seulement, il reste ceci entre nous : ont-ils peint leur monstre individuel avec le sentiment qu’ils auraient dû mettre dans leur peinture pour qu’une telle horreur fût sauvée par la beauté de la peinture et par l’impression, tragiquement morale, qu’elle devrait laisser dans les cœurs ? […] tout le temps du livre ; car son amour de la fin, sorti des boues remuées de sa nature, — il y a des boues dans cette femme de marbre blanc, — n’a été mis là par les auteurs que comme une ressource de dénouement pour qu’aux dernières pages le lecteur, écœuré de cette femme, ne jetât pas le livre de dégoût !
La promesse d’élever un sanctuaire au Sacré-Cœur de Jésus, pour qu’il délivre le Saint-Père de sa captivité et qu’il fasse cesser les malheurs de la France justement châtiée. […] Pour qu’aucune voix n’ait osé porter ce fait à la connaissance de tous, il a fallu une ignorance et un manque de jugement extraordinaires, dont profita le parti catholique.
On a trop parlé de ces livres pour que je puisse émettre mon opinion autrement que fortifiée par des exemples. […] Ce n’était pas la peine de lui casser la tête pour qu’il revînt entre lui et elle, entêté dans sa jalousie. […] Seulement je vais jouer piano pour que la générale n’entende pas. […] Bentzon est trop connu par ses œuvres personnelles et ses très remarquables traductions pour que nous ayons à le recommander autrement qu’en lui laissant la parole. […] … Allons au fond de l’affaire… Elle te plante là la première, et trop tôt pour que tu t’en moques… Mais, animal, tu ne l’épouses pas !
* * * Mais, pour que notre gouvernement parlât ainsi, il fallait qu’il y fût encouragé par quelque grand mouvement d’opinion publique.
Je prends trop sur moi pour que l’esprit et le corps n’y succombent pas, peut-être tous les deux. » Vous avez l’explication de cette mélancolie dans un mouvement de jalousie dont ne se défend pas l’amour le plus chaste.