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1644. (1862) Portraits littéraires. Tome II (nouv. éd.) « Delille »

Mais si, le doigt s’égarant, on remontait dans le volume à quelques pages de là, si on lisait à haute voix le portrait de Jean-Jacques : Hélas !

1645. (1864) Portraits littéraires. Tome III (nouv. éd.) « Théocrite »

Il est manifeste d’ailleurs que, sauf le costume, ce personnage de Lycidas n’est pas une invention, et que le poëte, en insistant sur cette physionomie à la fois avenante et railleuse, sur ce rire du coin de l’œil et sur cette lèvre fendue où siège l’enjouement, a dessiné un portrait d’après nature4.

1646. (1866) Petite comédie de la critique littéraire, ou Molière selon trois écoles philosophiques « Deuxième partie. — L’école critique » pp. 187-250

La réalité des portraits l’enchante dans le comique français ; dans le poète grec et dans Shakespeare, la fantaisie des tableaux lui cause le même enchantement.

1647. (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXVe entretien » pp. 317-396

« Pour la consolation des disciples qui s’étaient fixés avec leurs familles dans les environs, et pour remettre en quelque sorte sous leurs yeux celui dont le souvenir leur était infiniment cher, outre son portrait, qu’on plaça dans le sépulcre nouvellement construit, on y déposa encore tous ses ouvrages, ses habits de cérémonie, ses instruments de musique, le char dans lequel il faisait ses voyages et quelques-uns des meubles qui lui avaient appartenu.

1648. (1859) Cours familier de littérature. VII « XLIe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Troisième partie de Goethe. — Schiller » pp. 313-392

Et pourquoi le portrait est-il plus fidèle ainsi ?

1649. (1861) Cours familier de littérature. XI « LXIIe entretien. Cicéron » pp. 81-159

V Cicéron, tel que nous le trouvons dans les portraits et dans les lettres de ses contemporains ou de lui-même, était de haute taille, telle qu’elle est nécessaire à un orateur qui parle devant le peuple, et qui a besoin de dominer de la tête ceux qu’il doit dominer de l’esprit.

1650. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCVIe entretien. Alfieri. Sa vie et ses œuvres (1re partie) » pp. 413-491

Une médaille fut frappée pour perpétuer le souvenir de cet événement ; sur l’une des faces, on voyait le portrait de Charles-Édouard, sur l’autre celui de la jeune femme, et la légende, inscrite aussi sur la muraille de la chapelle, portait ces mots en latin : Charles III, né en 1720, roi d’Angleterre, de France et d’Irlande. 1766.

1651. (1864) Cours familier de littérature. XVII « XCVIIe entretien. Alfieri. Sa vie et ses œuvres (2e partie) » pp. 1-80

Il s’amuse à créer pour lui-même un ordre de chevalerie littéraire : « J’inventai un collier où seraient gravés les noms de vingt poètes et auquel serait suspendu un camée avec le portrait d’Homère.

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