La porte de la cuisine se rouvrit. […] À droite de la petite porte ronde se trouvait un banc de pierre. […] Dans la cuisine, les casseroles tintaient, le feu pétillait, les portes s’ouvraient et se refermaient. […] Ils passèrent sous la porte de Hildebrandt, et Zimmer, remettant son cor en sautoir, reprit le fouet. […] Mais on sonne à sa porte : c’est la mère de Sûzel, qui vient lui apprendre le prochain mariage de la petite.
Des queues s’allongent à la porte des marchands, de la seule chose qui reste à manger, à la porte des chocolatiers. […] P… gagne la porte. […] Sur le pas de toutes les portes, un béret bavarois. […] Deux étrangères seules sont assises à la porte. […] La grille de la porte de la villa vient d’être défoncée.
C’est un grand mince et pâle, qui porte moustaches et mazarine. […] Thoré porte une longue barbe et les cheveux ras. […] Il porte le ruban de la Légion-d’Honneur. […] Je l’ai vu au théâtre de la Porte Saint-Martin ; il occupait une loge avec M. […] Mais comme la seconde porte était restée entrebâillée, chez M.
Magdalena, étendue à terre sur le seuil de la porte, mordait l’herbe et les pierres en appelant éperdument son fils. […] Ainsi travestie, je poussai doucement la porte au crépuscule du matin, espérant que mon père et ma tante, éloignés du seuil de la maison ou endormis dans les larmes, ne s’apercevraient pas de mon dessein. […] Ils se jetèrent tous les deux, les bras étendus, entre la porte et le chemin pour me retenir ; je tombai évanouie entre leurs bras. […] s’écria mon père en se couchant sur le pas de la porte. […] Et quand on te le dirait, à qui t’adresseras-tu pour qu’on t’ouvre les portes de fer de sa cage ?
Et quel est ce sang sur le seuil de ta porte ? […] (Ouvrant la porte.) […] Il a appelé Gretchen ; il se tenait sur le pas de la porte. […] La porte est ouverte. […] Méphistophélès, paraissant à la porte.
Arrivée à la porte de l’hôpital, elle veut descendre sans qu’on la porte : « Pouvez-vous aller jusque-là ? […] J’entends un colloque à la porte entre la femme de ménage et le portier. La porte s’ouvre. […] Je prends la lettre ; elle porte le timbre de Lariboisière. […] La porte, une toute petite porte, nous est ouverte par la gouvernante, une femme de quarante ans, à tenue d’institutrice de bonne maison.
Ne lui parlons pas, son regard seul pourrait nous frapper, si ses yeux avaient des balles comme son tromblon ; fais-lui jeter son morceau de pain de loin, à travers la double grille, par la main du piccinino, et, les autres jours, ne te risque jamais à entrer dans sa loge, sans avoir la gueule des fusils des sbires de la porte derrière toi. […] Quand l’enfant, sans soupçon, fut assis par terre, occupé à tresser sa première natte, j’ouvris la seconde porte donnant sur la cour du cloître, une corbeille de criblure de froment à la main pour les ramiers, et je me dirigeai vers le puits, pour tirer l’eau dans les auges et pour en remplir les cruches des prisonniers. […] Toutes les fois qu’on frappait du dehors à la porte de fer de la prison, je laissais le piccinino aller tirer le verrou aux étrangers, et, sous un prétexte ou l’autre, je montais dans ma tour pour éviter les regards des sbires ou des curieux. […] Comment, si elle était jamais reconnue par un des pèlerins ou des sbires extasiés de sa beauté, quand ils l’avaient aperçue sur notre porte, échapperait-elle aux poursuites du chef des sbires qui avait commis tant de ruses pour l’obtenir de sa tante ? […] Ces réponses uniformes m’avaient donné d’abord à penser que votre fille n’avait pas osé entrer à Lucques et qu’elle errait çà et là dans les villages voisins, comme un enfant qui regarde les fenêtres des maisons et qui voudrait bien y pénétrer, sans oser toutefois s’approcher des portes.
— Monte, mon enfant, dit la fiancée, c’est une bénédiction du bon Dieu que de trouver une occasion de charité à la porte de la ville, un jour de noce et de joie, comme est ce beau jour pour nous. […] Quand nous arrivâmes à la sombre porte à clous de fer du bargello, tout à côté de l’énorme porte de la prison, et que les bœufs s’arrêtèrent, je ressemblais à une Madone de Lorette : on ne voyait plus mes habits à travers les rubans, les couronnes et les bouquets. […] On dit qu’elle avait servi, dans les anciens temps, à murer, dans ce dernier étage de la tour, un prisonnier d’État qu’on avait voulu laisser mourir à petit bruit, dans ce sépulcre au milieu des airs, et que les gonds et les verrous de la porte avaient retenu le bruit de ses hurlements. […] craindrais-tu de prendre service chez nous parce que nous sommes geôliers de la prison du duché, dont tu vois la cour par cette fenêtre, et parce que le monde méprise, bien à tort quelquefois, ceux qui portent le trousseau de clefs à la ceinture, pour ouvrir ou fermer les portes des malfaiteurs ou des innocents ? […] Quand j’étais chez mon père, je n’aimais pas moins mes chèvres et mes brebis, parce que je leur ouvrais la porte de l’étable le matin et que je la refermais sur elles le soir.