Est-il impossible de concevoir les phénomènes physiques, les phénomènes mécaniques, par exemple, autrement que dans l’espace à trois dimensions ?
En faisant au scepticisme moral la plus large part en supposant que la vie et l’univers ne soient qu’une série de phénomènes de même ordre et dont on ne puisse dire autre chose, sinon qu’il en est ainsi en accordant que pensée sentiment, passion, beauté, vertu ne soient que des faits, excitant en nous des sentiments divers, comme les fleurs diverses d’un jardin ou les arbres d’une forêt (d’où il résulterait comme Goethe et Byron le pensaient, que tout est poétique) en admettant que, parvenu à l’atome final, on puisse, librement et à son choix, rire ou adorer, en sorte que l’option dépende du caractère individuel de chacun, même à ce point de vue, dis-je, où la morale n’a plus de sens, la science en aurait encore. Car ce qu’il y a de certain, c’est que ces phénomènes sont curieux ; c’est que ce monde de mouvements divers nous intéresse et nous sollicite.
C’est donc un des phénomènes par lesquels se manifeste la tendance des sociétés démocratiques vers le pouvoir concentré. […] Les sociétés humaines, comme tous les objets de la nature, sont des phénomènes très-complexes, qui ne peuvent être la plupart du temps devinés à priori.
Et qu’on ne croie pas que ce chevauchement des artisans sur les métiers soit un phénomène accidentel et négligeable. […] Jullian commentant des renseignements fournis par le Comité des travaux historiques et scientifiques (Ministère de l’Instruction, publique) sur l’accroissement du nombre des Sociétés savantes, apporte à notre thèse cette confirmation : « C’est en effet, dans ce siècle et dans notre pays, le phénomène social le plus net et le plus général que les progrès ininterrompus des associations libres.
Dès le début il considère l’amour et les démarches de l’amour du même œil que le reste, comme des phénomènes tout aussi naturels (je crois bien !)
Phénomène étrange dont elle donne rarement le spectacle !
III Ainsi, ennuyeux, et cependant plein de talent à sa manière, voilà quel est M. le Conte de L’Isle, et ce n’est pas là un phénomène !
Phénomène au moins singulier !