Il suffisoit qu’ils fissent parade d’une morgue bien noire et bien sombre, ou qu’ils parussent livrez à des transports de fureur qui les fissent extravaguer.
Voici ce texte ricaneur ; c’est le rire de Voltaire, avec des dents noires : « Je n’ai rien dit du roi Adam, ni de l’empereur Noé, père des trois grands monarques qui se partagèrent l’univers, comme firent les enfants de Saturne, qu’on a cru reconnaître en eux.
Ils tomberaient dans les habits noirs de Féval.
C’est de là qu’il bravait la calomnie des envieux, comme l’oiseau de Jupiter les cris des oiseaux babillards31 ; c’est là qu’il s’approchait sans trouble des noirs confins de la vieillesse.
Le Rouge et le Noir, chap. […] Le Rouge et le Noir, ch. […] Le Rouge et le Noir, ch. […] Le Rouge et le Noir, ch. […] Le Rouge et le Noir, ch.
Pour la foule, et je joins à la foule la plupart des amateurs, dont le jugement a eu les musées pour serre chaude, la réalité est fausse, le conventionnel est vrai ; en effet, les peintures renfermées dans les musées, et qu’on lui montre toujours comme types, sont des peintures rousses, noires, vertes, grises, des peintures idéalisées, arrangées, plus propres à détraquer une tête de peintre qu’à l’assainir, car la vérité en est presque généralement absente ; le beau devrait donc se faire roux, noir et vert comme les maîtres ; et Dieu sait que chez ces maîtres il y a des arrangements de lumière, du théâtre, de la tragédie enfin. […] Des effets d’Étoile du Soir permettent d’opposer des noirs à des jours qui vont en dégradation, aspects chéris des peintres ; — mais pourquoi les noyés vont-ils exclusivement au ciel, dans la composition qui représente Notre-Dame-de-Bon-Secours ? […] — Arlequin, Pierrot, Polichinelle, Cassandre et Colombine, ennuyés d’être toujours muets, vont faire de la littérature : ils fondent un journal, intitulé le Bras noir (mystère). — On donnera quelques pantins en prime aux abonnés, avec une devise en vers. […] Est-ce comparable aux caractères de Julien et de madame de Rênalm dans Rouge et Noir, de Grandet, du curé de Tours, de Birotteau ? […] Barbey compare les poètes catholiques à des blancs, — les poètes grands métriques à des mulâtres, les réalistes à des noirs et la littérature en général à l’île de Saint-Domingue.
Il s’agit des éléments d’un métier, de ce qui s’enseigne aux peintres dans les académies : on peut apprendre cela ; on peut apprendre à écrire correctement à la manière neutre, comme on grava à la manière noire. […] Ce n’est pas du premier coup que les races aryennes joignirent ces deux idées, l’idée de mort et l’idée de nécessité ; beaucoup de peuplades noires n’y sont pas parvenues. […] Que d’hystériques abbés, que de femmes folles de leurs nerfs se sont laissé prendre au réalisme du fameux tableau de la Messe Noire, entièrement tiré cependant d’une imagination, alors satanique. […] Le sabbat, qui n’exista jamais que dans les cerveaux hallucinés des pauvres sorcières, se déroulait selon des liturgies très différentes et surtout malpropres ; il ne reçut le nom de Messe Noire que par équivoque, puisque la vraie Messe Noire, telle qu’elle fut encore dite sur le corps nu de la Montespan, était une cérémonie de conjuration, absolument secrète, et dont le secret seul garantissait l’efficacité. […] Les vierges noires sont d’origine orientale et aucune n’est signalée en France avant le xiie siècle.
De noir vêtu, avec un col bas, une cravate noire et, souvent, une redingote boutonnée de façon quasi religieuse, il avait l’air d’un clerc humble et doux. […] C’est de la nuit noire et dans laquelle se meuvent des ombres. La nuit est si noire que les ombres y sont des fantômes assez nets. […] Un soir, il prit du café noir. […] Ayant pris du café noir, il ne put s’endormir.