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1959. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. VILLEMAIN. » pp. 358-396

Après l’antiquité grecque ou chrétienne, après son moyen âge et Shakspeare, il est un lieu où M.

1960. (1875) Les origines de la France contemporaine. L’Ancien Régime. Tomes I et II « Livre premier. La structure de la société. — Chapitre IV. Services généraux que doivent les privilégiés. »

« Mme de Pompadour, écrivant au maréchal d’Estrées à l’armée sur les opérations de la campagne, et lui traçant une espèce de plan, avait marqué sur le papier avec des mouches les différents lieux qu’elle lui conseillait d’attaquer ou de défendre. » (Mme de Genlis, 329, Souvenirs de Félicie, Récit de Mme de Puisieux, belle-mère du maréchal d’Estrées.)

1961. (1863) Cours familier de littérature. XV « LXXXIXe entretien. De la littérature de l’âme. Journal intime d’une jeune personne. Mlle de Guérin (2e partie) » pp. 321-384

Me voilà sur l’éléphant, me voilà dans la pirogue, faisant le tour des mers du Nord et de l’île des Cygnes, voyant ces lieux du temps de ces choses : la Laponie chaude, verdoyante et peuplée, non de nains, mais d’hommes beaux et grands, de femmes s’en allant en promenade sur un éléphant, dans ces forêts, sous ces monts pétrifiés aujourd’hui ; et l’île des Cygnes, blanche de fleurs, et de leur duvet, oh !

1962. (1865) Cours familier de littérature. XIX « CXIVe entretien. La Science ou Le Cosmos, par M. de Humboldt (3e partie) » pp. 365-427

« Ces lieux, dit M. 

1963. (1895) Histoire de la littérature française « Sixième partie. Époque contemporaine — Livre II. L’époque romantique — Chapitre V. Le roman romantique »

On peut dire que sa plus profonde psychologie est dans ses descriptions d’intérieur, lorsqu’il nous décrit l’imprimerie du père Séchard, la maison du bonhomme Grandet, la maison du Chat qui pelote, un appartement de curé ou de vieille fille, les tentures somptueuses ou fanées d’un salon ; c’est sa méthode, à lui, d’analyser les habitudes morales des gens qui ont façonné l’aspect des lieux.

1964. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre II — Chapitre sixième. »

A la fin de ce siècle, l’art d’écrire en prose n’avait plus guère à acquérir quant à la matière ; et quant à la langue elle-même, elle ne demandait plus que des perfectionnements de détail, et une certaine discipline dont nous nous occuperons en son lieu.

1965. (1902) Le culte des idoles pp. 9-94

De même qu’il y a lieu de reprocher à Taine son manque de sensation, à Goncourt sa recherche de sensation, il faut reprocher aussi à Flaubert son absence d’imagination.

1966. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 février 1886. »

Et pendant quinze jours, c’est en tous lieux un crescendo d’indignation

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