Après l’antiquité grecque ou chrétienne, après son moyen âge et Shakspeare, il est un lieu où M.
« Mme de Pompadour, écrivant au maréchal d’Estrées à l’armée sur les opérations de la campagne, et lui traçant une espèce de plan, avait marqué sur le papier avec des mouches les différents lieux qu’elle lui conseillait d’attaquer ou de défendre. » (Mme de Genlis, 329, Souvenirs de Félicie, Récit de Mme de Puisieux, belle-mère du maréchal d’Estrées.)
Me voilà sur l’éléphant, me voilà dans la pirogue, faisant le tour des mers du Nord et de l’île des Cygnes, voyant ces lieux du temps de ces choses : la Laponie chaude, verdoyante et peuplée, non de nains, mais d’hommes beaux et grands, de femmes s’en allant en promenade sur un éléphant, dans ces forêts, sous ces monts pétrifiés aujourd’hui ; et l’île des Cygnes, blanche de fleurs, et de leur duvet, oh !
« Ces lieux, dit M.
On peut dire que sa plus profonde psychologie est dans ses descriptions d’intérieur, lorsqu’il nous décrit l’imprimerie du père Séchard, la maison du bonhomme Grandet, la maison du Chat qui pelote, un appartement de curé ou de vieille fille, les tentures somptueuses ou fanées d’un salon ; c’est sa méthode, à lui, d’analyser les habitudes morales des gens qui ont façonné l’aspect des lieux.
A la fin de ce siècle, l’art d’écrire en prose n’avait plus guère à acquérir quant à la matière ; et quant à la langue elle-même, elle ne demandait plus que des perfectionnements de détail, et une certaine discipline dont nous nous occuperons en son lieu.
De même qu’il y a lieu de reprocher à Taine son manque de sensation, à Goncourt sa recherche de sensation, il faut reprocher aussi à Flaubert son absence d’imagination.
Et pendant quinze jours, c’est en tous lieux un crescendo d’indignation