Ce genre d’investigation peut-être a été éludé, en paix, comme dangereux, par ceux-là qui, sommés d’une faculté, se ruèrent à son injonction ; craignant de la diminuer au clair de la réponse. […] L’un des modes incline à l’autre et y disparaissant, ressort avec emprunts : deux fois, se parachève, oscillant, un genre entier. […] À l’un, sa pieuse majuscule ou clé allitérative, et la rime, pour le régler : l’autre genre, d’un élan précipité et sensitif tournoie et se case, au gré d’une ponctuation qui disposée sur papier blanc, déjà y signifie. […] On a le tort critique, selon moi, dans les salles de rédaction, d’y voir un genre à part. […] La Confiance, cette fois lecture, mieux Discours, me paraît un genre à déployer hors frontières. — Toi que voici chez nous, parle, est-il indiqué par hommage, on accède.
Personne n’a peint un tapis de Turquie aussi bien que Gérard Dow, mais il est resté un peintre de genre. […] Plus tard Pouchkine trouva le style qui convient aux récits merveilleux, et quelques-unes de ses ballades sont de modèles en ce genre ; on s’aperçoit qu’il a étudié et surpris les procédés des conteurs populaires. […] La Petite Maison dans la Kolomna et le Comte Nouline sont deux charmants petits tableaux du même genre, non moins gracieux que leur devancier. […] En cela peut-être trouvera-t-on une autre imitation ; pourtant ce n’est pas à Byron que revient l’honneur de ce genre de composition, où l’auteur parle de tout à propos de peu de chose. […] Je crois qu’il ne serait pas impossible de lui ravir la gloire de l’invention, et de remonter à l’antiquité pour découvrir des modèles, si, dans une œuvre de ce genre, le mérite de l’exécution n’était pas le plus important, disons mieux, le seul à considérer.
Ce mot de brouillons revient perpétuellement dans sa bouche pour flétrir ses adversaires : c’est le stigmate imprimé par un esprit juste et ferme au genre de défaut qui lui est le plus antipathique et qui le fait le plus souffrir. […] André Chénier, fidèle en ceci au goût antique, ne mêle point les genres. […] Attaché à la Constitution de 91, la jugeant praticable malgré ses défauts, croyant que la question serait résolue si tous les honnêtes gens s’unissaient pour prêter main-forte à cette loi une fois promulguée, seul d’ailleurs, ne tenant à aucun parti, à aucune secte, ne connaissant pas même les rédacteurs du Journal de Paris, dans lequel il publie ses articles, se bornant à user de cette méthode commode des Suppléments, qui permettait alors à chacun de publier ses réflexions à ses frais, il répondait hardiment à ceux qui voulaient établir une solidarité entre lui et les personnes à côté de qui il écrivait : « Il n’existe entre nous d’association que du genre de celles qui arment vingt villages contre une bande de voleurs. » Sa politique, en quelque sorte isolée et solitaire, se dessine nettement à l’occasion de la hideuse journée du 20 juin. […] A lui demandé commant il sapelloit A répondu quil senomoit André Chenier natife de Constentinoble âgé de trente et un ans demeurant à Paris rue de Clairy section de Brutus A lui demandé de quelle ané il demeuroit rue de Clairy A lui répondue depuis environ mil sept cent quatre vingt douze au moins A lui demandé quel son ses moyent de subsisté A lui répondu que de puis quatre vingt dix quil vie que de que lui fait son père12 A lui demandé combien que lui faisoit son père A répondu que son père lui endonnoit lorsquil luy endemandoit A lui demandé s’il peut nous dire a combien la somme quil demande à son pere par an se monte A repondu quil ne savoit pas positivement mais environ huit cent livre à mille livre par année A lui demandé sil na auttre chose que la somme quil nous déclare cy-dessus A repondu qu’il na pas d’auttre moyent que ce quil nous a déclarée A lui demande quelle manierre il prend son existance A repondu tenteau chez son père tenteau chez ses amis et tentot chez des resteaurateurs A lui demandé quel sont ses amis ou il va mangé ordinairement A répondu que cetoit chez plusieurs amis dont il ne croit pas nécessaire de dire lenom A lui demandé s’il vien mangé souvent dans la maison ou nous lavons aretté A repondu quil ne croyoit n’avoir jamais mangé dans cette maison ou il est aresté, mais il dit avoir mangé quelque foy avec les mêmes personnes apparis chez eux A lui demandé sil na pas de correpondance avec les ennemis de la République et la vons sommé de nous dire la vérité A repondu au cune A lui demandé sil na pas reçue des lettre danglaitaire depuis son retoure dans la République A repondu quil en a recue une ou deux ducitoyent Barthelemy àlorse ministre plénipotensiêre en Anglaitaire et nen avoir pas reçue dauttre A lui demandé à quelle épocque il a recue les lettre désigniés sy dessus sommé a lui denous les representés A répondue quil ne les avoit pas A lui demandé ce quil en àfait et le motife quil lat engagé à sendeffaire A repondu que ce netoit que des lettre relative à ses interrest particulier, comme pour faire venire ses livres et auttre effest laissé en Anglaitaire et du genre de celle que personne ne conserve A lui demandé quel sorte de genre que personne ne conserve et surtout des lettre portant son interest personnelle13 sommé de nous dire la vérité A répondu il me semble que des lettre qui énonce l’arrivé des effest désigniés cy-dessus lorsque ses effest son reçue ne son plus daucune valeure A lui representé quil nest pas juste dans faire réponse, dautant plus que des lettre personnelle doive se conserver pour la justification de celui qui à En voyé les effet comme pour celui qui les à reçue A repond quil persite à pensé quand des particulier qui ne mettre pas tant dexactitude que des maison de commerce lorsque la reception des fait demandé est accusé toute la correspondance devient inutisle et quil croit que la plus part des particuliers en use insy A lui représenté que nous ne fond pas des demande de commerce sommé à lui de nous répondre sur les motifes de de son arestation qui ne sont pas affaire de commerce14 A repondu quil en ignorest du faite A lui demandé pourquoy il nous cherche des frase et surquoy il nous repond cathegoriquement15 A dit avoir repondue avec toute la simplicité possible et que ses reponse contiene lexatte veritté A lui demandé sil y à longtemps quil conoit les citoyent ou nous l’avons aresté sommé a lui de nous dire depuis quel temps A repondu quil les connaissoit depuis quatre ou cinqt ans A lui demandé comment il les avoit conu A repondu quil croit les avoir connu pour la premiere fois chez la citoyene Trudenne A lui demandé quel rue elle demeuroit alors A repondu sur la place de la Revolution la maison à Cottée A lui demandé comment il connoit la maison à Cottée16 et les-citoyent quil demeuroit alors A repondu quil est leure amie de l’anfance A lui represanté quil nest pas juste dans sa reponse attendue que place de la Revolution il ny a pas de maison qui se nome la maison à Cottée donc il vien de nous déclarés A repondue quil entandoit la maison voisine du citoyent Letems A lui représentes quil nous fait des frase attandue quil nous a repettes deux fois la maison à Cottée A repondue quil a dit la vérité A lui demandée sil est seul dans lappartement quil occuppe dans la rue de Clairy nº quatre vingt dix sept A repondue quil demeuroit avec son père et sa mère et son frère ainée A lui demandée sil na personne pour le service Il y à un domestique commun pour les quatre qui les sere A lui demandée ou il étoit a lepoque du dix aoust mil sept cent quatre vingt douze A répondue a paris malade d’une colique nefretique A lui demandee sy cette colique le tient continuellement et sil elle tenoit le jour du dix aoust quatre vingt douze A répondue quil se rétablissoit a lors d’une attaque et que cette maladie le tiend presque continuellement depuis lage de vingt ans plus ou moins fortes A lui demandés quelles est cette malady et quelle est le chirurgient quil le traitoit alors et sy cest le même qui letraitte en core A repondu le médecin Joffroy latraitté au commancement de cette maladie et depuis ce temps jai suis un régime connue pour ses sorte de meaux A lui demandée quelle difference il fait d’une attaque de meaux ou de maladies.
Idée ingénieuse & qui peint l’effet de ce genre d’ornement. […] Ce genre d’ouvrage mêlé de vers & de récits en prose, a quelque chose de moins frappant que celui qui se soutient par l’action, ou la représentation, tels que le Pastor Fido, l’Aminte & quelques autres ; mais il n’est pas moins susceptible de grandes beautés dans une main aussi habile que celle de Sannazar. […] La Philis de Scire du Comte Bonarelli est la troisiéme Pastorale que les Italiens mettent au nombre de leurs chefs-d’œuvre en ce genre. […] Cet auteur unit les talens de Lucrèce & d’Anacréon, Poëte philosophe, Poëte sublime, Poëte galant ; grand homme dans les différens genres qu’il a cultivés. […] Le Poëme de la mort d’Abel, excellent dans son genre, est au Paradis perdu de Miltron au moins ce que Télémaque est à l’Odyssée.
Je n’éprouve aucun embarras de ce genre devant le nom de Huxley. […] Le cerveau est en relation avec les mécanismes de la moelle en général, et non pas seulement avec tel ou tel d’entre eux ; il reçoit aussi des excitations de toute espèce, et non pas seulement tel ou tel genre d’excitation. […] Bref, les choses se passent comme si un immense courant de conscience, où s’entrepénétraient des virtualités de tout genre, avait traversé la matière pour l’entraîner à l’organisation et pour faire d’elle, quoiqu’elle soit la nécessité même, un instrument de liberté. […] En d’autres termes, la vie s’installa, ses débuts, dans un certain genre de matière qui commençait ou qui aurait pu commencer à se fabriquer sans elle. […] Mais il faut tenir compte des obstacles de tout genre que cette force rencontre sur son chemin.
C’est le genre que j’ai déjà défini en parlant de M. […] Murger a peint dans un de ses livres cette espèce du genre. […] J’ai donné une autre raison de la vogue des romans de ce genre : c’est la curiosité. […] Ce sont des espèces, le mot est vrai de toutes manières, contenues dans le genre. […] Puis, au lieu de déclamer sur chaque genre de misère, il l’adoucit et le console.
La vie générale du genre humain s’appelle le Progrès ; le pas collectif du genre humain s’appelle le Progrès. […] « Or il arrive quelquefois que la vie momentanée des individus fait résistance à la vie éternelle du genre humain. […] Je suis jeune et je suis amoureux, je suis vieux et je veux me reposer, je suis père de famille, je travaille, je prospère, je fais de bonnes affaires, j’ai des maisons à louer, j’ai de l’argent sur l’État, je suis heureux, j’ai femme et enfants, j’aime tout cela, je désire vivre, laissez-moi tranquille. — De là, à de certaines heures, un froid profond sur les magnanimes avant-gardes du genre humain. […] Et l’on va devant soi, et, une fois engagé, on ne recule plus, et l’on se précipite tête baissée, ayant pour espérance une victoire inouïe, la révolution complétée, le progrès remis en liberté, l’agrandissement du genre humain, la délivrance universelle, et pour pis-aller les Thermopyles. […] À cette condition, on donne au genre humain le patron de l’idéal.
Or, quoique les idées du temps en fait de bonne foi littéraire différassent essentiellement des nôtres, on n’a pas d’exemple dans le monde apostolique d’un faux de ce genre. […] On comprend maintenant, ce semble, le genre de valeur historique que j’attribue aux évangiles. […] Je les rapprocherais volontiers des légendes de Saints, des Vies de Plotin, de Proclus, d’Isidore, et autres écrits du même genre, où la vérité historique et l’intention de présenter des modèles de vertu se combinent à des degrés divers. […] » Ce serait la, selon moi, un genre d’inexactitude pire que celui auquel on s’expose en admettant les détails que nous fournissent les textes. […] Dans les histoires du genre de celle-ci, le grand signe qu’on tient le vrai est d’avoir réussi à combiner les textes d’une façon qui constitue un récit logique, vraisemblable, où rien ne détonne.