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1525. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Philarète Chasles » pp. 111-136

Il aimait trop pour cela les idées générales. […] , mais de tendance générale et utilitaire, de spéciale préoccupation.

1526. (1895) Les œuvres et les hommes. Journalistes et polémistes, chroniqueurs et pamphlétaires. XV « Fervaques et Bachaumont(1) » pp. 219-245

Or, si c’était cela, si Rolande exprimait les mœurs générales de son temps, ce serait écrasant pour l’Empire. […] Si leur Rolande veut exprimer une idée générale de son temps, si c’est là le type du genre de femmes qui furent les femmes de l’Empire, ah !

1527. (1911) Visages d’hier et d’aujourd’hui

Mais ensuite, à la veille des États généraux, Louis XVI entamait avec la tsarine des négociations tendant à une alliance. […] Ce qu’il avait écrit, ce qu’il avait dit et fait, devenait l’admiration générale. […] Non ; la vérité mathématique dépend de la structure de l’esprit humain, lequel est une réalité durable et générale. […] Mais, d’abord, une telle philosophie générale ne serait pas la philosophie. […] Mais un littérateur ou, d’une façon plus générale, un artiste qui reste naturel a remporté une belle victoire sur de grandes difficultés.

1528. (1916) Les idées et les hommes. Troisième série pp. 1-315

Après un échec local, je ne sais où, le général réunit son état-major ; et, sur la carte, on examine la situation. […] L’Empereur disait à Gourgaud : « Pour être bon général, il faut savoir les mathématiques, cela sert en mille circonstances à rectifier les idées ; mais un général ne doit jamais se faire des tableaux : c’est le pire de tout. » Eh ! […] Il annonce et il envisage sans timidité la guerre générale, la guerre immense, l’Europe ensanglantée, incendiée. […] Il ne dissocie pas de la métaphysique générale l’idée de patrie. […] Nos généraux n’ont pas été vainqueurs ; il n’est pour rien dans leur déconvenue : on le honnit.

1529. (1923) Nouvelles études et autres figures

Il en tombait encore en 1870, et l’Inspecteur général poussaient un cri d’alarme. […] À la tête du collège, le recteur avait au-dessus de lui les Visiteurs, le Provincial de France, le Général, — comme nos proviseurs ont au-dessus d’eux les inspecteurs, leur recteur et le ministre ; mais le Général était un ministre durable. […] Le recteur, plus soumis au Provincial et au Général que le proviseur moderne à son recteur et à son ministre, disposait de pouvoirs beaucoup plus étendus. […] Le ministre dépêcha aussitôt un inspecteur général qui du reste s’assura que le professeur avait eu raison. […] Il fallait en ouvrir les portes et les fenêtres aux idées générales.

1530. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « Sur le Louis XVI de M. Amédée Renée » pp. 339-344

Son ouvrage, d’après le cadre qui lui était donné, s’arrête et devait s’arrêter à 1789, avec l’ouverture des états généraux.

1531. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LVIII » pp. 220-226

— Une seule remarque encore, puisqu’elle est générale et s’applique à toute la littérature d’aujourd’hui.

1532. (1874) Premiers lundis. Tome I « Mémoires du marquis d’Argenson, ministre sous Louis XV »

Les différents articles qui les composent, et dont l’analyse ne saurait embrasser la variété, n’ont entre eux de commun que le mérite littéraire, le seul que je puisse apprécier d’une vue générale : apprécier le mérite littéraire d’un livre, quel qu’il soit, c’est d’ordinaire donner l’exacte mesure de sa valeur réelle.

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