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1722. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Conclusion. Le passé et le présent. » pp. 424-475

Du premier élan, et dans la ferveur de la foi primitive, ils renversent le trône, et le courant qui les porte est si fort, qu’en dépit de leurs excès et de leur défaite, la révolution s’accomplit d’elle-même par l’abolition des tenures féodales et l’institution de l’Habeas corpus sous Charles II, par le redressement universel de l’esprit libéral et protestant sous Jacques II, par l’établissement constitutionnel, l’acte de tolérance, et l’affranchissement de la presse sous Guillaume III.

1723. (1868) Cours familier de littérature. XXVI « CLIe entretien. Molière et Shakespeare »

. — Il est ici sous la foi d’une double sauvegarde.

1724. (1886) Revue wagnérienne. Tome I « Paris, 14 mars 1885. »

On ne sait, ma foi, ce qui adviendrait de l’homme à la sérénade, par cette obscurité opaque, sans l’intervention du veilleur de nuit.

1725. (1881) La psychologie anglaise contemporaine « Introduction »

Il accepte la foi du sens commun au monde matériel et aux sens, qui nous le révèlent ; il s’inquiète des faits et de leurs lois, non de l’essence ; il contrôle le témoignage des sens sans le discuter.

1726. (1892) Journal des Goncourt. Tome VI (1878-1884) « Année 1882 » pp. 174-231

— C’est pas mal, pas mal, reprend Zola, et ma foi, oui, j’étais à la représentation, par moments, furieux contre les lâches, qui n’osaient pas applaudir… j’aurais aimé à leur dire des sottises.

1727. (1888) La critique scientifique « La critique scientifique — Analyse sociologique »

On sait qu’en Italie, par exemple, le tempérament sensé, sec et ironique de la généralité des Piémontais n’a rien de commun avec la mobilité braillarde des Napolitains ; et encore sont-ce là des étiquettes inexactes sur la foi desquelles il ne faudrait pas croire qu’il n’y ait des bavards à Turin et des gens sensés à Naples.

1728. (1856) Cours familier de littérature. I « Ier entretien » pp. 5-78

Je dois compte de tout cela à d’autres ; ils y ont déposé, sur la foi de mon honneur et de mon labeur, l’héritage de leurs enfants, le fruit de leurs propres sueurs.

1729. (1856) Cours familier de littérature. I « VIe entretien. Suite du poème et du drame de Sacountala » pp. 401-474

Il garde sa foi !

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