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1619. (1862) Cours familier de littérature. XIII « LXXVIIe entretien. Phidias, par Louis de Ronchaud (2e partie) » pp. 241-331

C’est là que je vis la beauté païenne, la fleur de la création refleurir tout entière dans son Hébé, dans son Pâris, dans ses Danseuses, dans sa Psyché.

1620. (1895) Histoire de la littérature française « Sixième partie. Époque contemporaine — Livre II. L’époque romantique — Chapitre III. La poésie romantique »

On trouve : 3+5+4 ; 4 + 5 + 3 ;3 + 4 + 5 ; 2 + 6 + 4 ; 1 + 6 + 5, etc.De la fleur, | de l’oiseau chantant, | du roc muet. (3 + 5 + 4)Car partout | où l’oiseau vo | le, la chèvre y grimpe. (3 + 4 + 5) On entendait | aller et venir | dans l’enfer, etc. (4 + 5 + 3) 748.

1621. (1854) Histoire de la littérature française. Tome I « Livre I — Chapitre deuxième »

En voici le début « A l’heure que j’ay ceste matiere encommencée, j’aproche quarante cinq ans, et ressemble le cerf ou le noble chevreul lequel ayant tout le jour brouté et pasturé diverses fueilles herbes, et herbettes, les unes cueillies et prises sur les hauts arbres, entre les fleurs et près des fruits, et les autres tirées et cueillies bas, à la terre, parmi les orties et les ronses aguës, ainsi que l’appetit le desiroitet l’adventure le donnoit après qu’iceluy se trouve refectionné, se couche sur l’herbe fresche, et là ronge et rumine, à goust et à saveur, toute sa cueillette et ainsi, sur ce my-chemin ou plus avant de mon aage, je me repose et rassouage sous l’arbre de congnoissance, et ronge et assaveure la pasture de mon temps passé, où je trouve le goust si divers et la viande si amère, que je pren plus de plaisir à parachever le chemin non cognu, par moy, sous l’espoir et fiance de Dieu tout puissant que je ne feroye et fust il possible de retourner le premier chemin et la voye dont j’ay desja achevé le voyage.

1622. (1887) Revue wagnérienne. Tome II « Paris, le 8 mars 1886. »

Saint-Saëns que le maître du clavier et de l’orchestre, et elle le couvre de fleurs.

1623. (1914) Boulevard et coulisses

Il a, d’ailleurs, un aspect charmant, ce gouffre, et les bords en sont couverts de fleurs.

1624. (1870) De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés « De l’origine des espèces par sélection naturelle, ou Des lois de transformation des êtres organisés — Chapitre XII : Distribution géographique (suite) »

J’ai dit que les poissons d’eau douce mangent quelques espèces de graines, mais ils en rejettent beaucoup d’autres espèces après les avoir avalées ; et même de petits poissons avalent des graines déjà d’une certaine grosseur, telles que celles du Lis d’eau à fleurs jaunes et du Potamogeton.

1625. (1870) La science et la conscience « Chapitre III : L’histoire »

« L’histoire, nous dit-il, est la science des lois du progrès dans les sociétés humaines ; elle est l’épanouissement de la fleur de l’humanité. » Et l’explication de ces formules n’est pas moins remarquable.

1626. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre III. L’âge classique. — Chapitre III. La Révolution. »

En France, du moins, la théologie est belle ; les plus fines fleurs de l’esprit et du génie s’y sont épanouies sur les ronces de la scolastique ; si le sujet rebute, la parure attire. […] Pauvre, inconnu, ayant dépensé sa jeunesse à compiler pour les libraires, il était parvenu, à force de travail et de mérite, avec une réputation pure et une conscience intacte, sans que les épreuves de sa vie obscure ou les séductions de sa vie brillante eussent entamé son indépendance ou terni la fleur de sa loyauté.

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