Lorsqu’elle cite les Auteurs classiques, Latins & François, c’est toujours sans affectation & sans pédanterie.
Nous ne pouvons nous refuser au plaisir de citer les Vers qu'elle fit pour répondre aux sollicitations d'un homme aimable & plein d'esprit, qui l'aimoit, & qui la pressoit de le payer d'un tendre retour.
« Je ne trouve, disait-il, que deux belles choses au monde, les femmes et les roses, et deux bons morceaux, les femmes et les melons. » C’est là un de ses moindres mots, et l’on ne saurait citer les meilleures de ses gaillardises. […] L’année d’auparavant, en 1626, il adressait à l’un de ses amis, M. de Mentin, qui avait autrefois connu personnellement le prélat avant sa suprême fortune, du temps de son exil en Avignon, une lettre mémorable qu’il nous faut citer en grande partie ; car elle n’est pas aussi en lumière et aussi célèbre qu’elle devrait l’être. On cite toujours la lettre de Voiture, écrite dix ans plus tard, sur la politique du Cardinal : pièce vraiment historique, qui honore à jamais ce bel esprit et le tire du rang des purs frivoles, où ses autres écrits le laisseraient. […] Il faut, pour avoir son jugement sérieux, corriger cet endroit badin par les meilleures et belles paroles, souvent citées, de sa lettre latine à Silhon. […] On a la réponse de Malherbe ; elle est à citer.
Parce que je cite Les Femmes savantes, à titre d’exemple, je ne voudrais pas que personne, parmi mes auditeurs, pût s’imaginer que j’approuve Molière en aucune façon d’avoir écrit cette comédie. […] Car je pourrais citer dans ses farces un certain nombre de facéties où, Dieu merci ! […] Lui-même ne cite jamais rien. […] Nous avons déjà dit que Schlegel ne cite rien. […] Nous citons M.
Entre plusieurs que nous pourrions citer, qui ne se rappelle cette fable du Chêne et des Buissons, l’un des meilleurs ouvrages que l’on ait composés dans ce genre après La Fontaine.
Charles Fuster Il y a, dans ce volume (Éveil d’amour), bien des morceaux dont chacun renferme, sinon une strophe, du moins un vers à citer.
Je voudrais citer quelques-unes des pièces de cet artiste étrange : Paysage lorrain, Automne, Vieux coin, Novembre, la Grosse Femme ; faute de place, je me borne à transcrire ce très rajeunissant et très bizarre triolet qui ferme le livre : Salamalec de gai sonneur Onc ne sera sonnet d’alarme !
J’aimerai à les citer et, pourtant, je passe.