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765. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXIII. Des panégyriques en vers, composés par Claudien et par Sidoine Apollinaire. Panégyrique de Théodoric, roi des Goths. »

Chapitre XXIII.

766. (1827) Principes de la philosophie de l’histoire (trad. Michelet) « Principes de la philosophie de l’histoire — Livre quatrième. Du cours que suit l’histoire des nations — Chapitre VI. Autres preuves tirées de la manière dont chaque forme de la société se combine avec la précédente. — Réfutation de Bodin » pp. 334-341

Chapitre VI.

767. (1854) Causeries littéraires pp. 1-353

Il y a, entre autres, un chapitre que je vous recommande, et où Bossuet, — oui, Bossuet en personne, — est mis en présence de Molière. […] ce chapitre de l’histoire de Molière est tout à l’honneur de Bossuet. […] Janin a été, dans ce chapitre, l’historiographe sincère et attendri de la comédie, de ses splendeurs et de ses misères. […] — Il y a pourtant, dans ces Critiques et Récits littéraires, un chapitre sur lequel je veux faire l’auteur une grosse chicane. […] Il n’y a qu’un mot juste dans cet injuste chapitre.

768. (1896) Écrivains étrangers. Première série

Balfour, dès les premiers chapitres de son livre. […] Balfour ne dit rien, dans ces premiers chapitres, qu’on n’ait dit déjà maintes fois avant lui. […] Ce chapitre sert de conclusion à la partie critique du livre de M. Balfour ; et nous assistons dans les chapitres suivants à un essai de reconstruction positive. […] Balfour, dit-il encore, dans le chapitre qu’il a consacré à l’idéalisme transcendantal.

769. (1926) La poésie pure. Éclaircissements pp. 9-166

Et lui, de son côté, j’ai grand peur qu’il ne goûte que médiocrement le dernier chapitre de « prière et poésie », conclusion nécessaire, selon moi, de tout le discours sur la poésie pure. […] En voici le premier chapitre. […] C’était l’avis de Ruskin, dans son fameux chapitre sur la pathetic fallacy (modern painters, III). à l’origine de toute activité poétique, Fagus place un « rythme intérieur ». […] Dans le chapitre où il traite des domaines de l’intelligence et de l’imagination, il cite particulièrement ces passages de ma lecture : " il semble toutefois certain que, dans cette " collaboration paradoxale (celle de l’âme et du " corps), les mots n’agissent pas seulement et " d’abord en vertu de leur beauté propre, pittoresque " ou musicale. […] Dans ma lecture à l’institut, et depuis le début de ces éclaircissements, dans chacun des précédents chapitres, j’ai cherché à rendre toujours présente la différence profonde de l’esprit et de l’âme, puis j’ai montré la nécessité de leur accord contre les obstructions que l’on doit à l’une des facultés trop exclusive de l’esprit, celle de l’analyse rationnelle, si limitée lorsqu’elle s’applique à ce qui comporte tant d’inconnu et d’infini : l’œuvre d’art.

770. (1870) Causeries du lundi. Tome XV (3e éd.) « L’abbé Fléchier » pp. 383-416

Par exemple, le chapitre sur « L’esprit critique et satirique » est d’un homme qui préférait de beaucoup la morale insinuante de La Fontaine fabuliste à la franche satire de Boileau et même de Molière ; on dirait que l’auteur continue de faire, à l’égard de ces derniers, quelques-unes des restrictions et des réserves de M. de Montausier. Dans le chapitre intitulé : « Du commerce avec les femmes », l’artiste insiste sur l’utilité honnête à en tirer, tout en marquant les sages précautions. […] Comme un homme qui dès sa jeunesse a vécu avec les honnêtes gens, il croit à la vertu chez les autres ; et même lorsque cette vertu n’est point parfaite d’abord, il estime quelle doit gagner avec le temps, et que les années y mettant la main, elle se perfectionnera : Rien n’est plus capable, dit-il en concluant ce chapitre, de rendre un homme sage qu’une femme sage ; et on peut maintenant dire à la louange des dames, qu’elles apprennent à vivre à ceux qui les voient.

771. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Introduction. » pp. -

Pour expliquer chacun d’eux, il faudrait écrire un chapitre d’analyse intime, et c’est à peine si aujourd’hui ce travail est ébauché. […] Consulter, pour voir cette échelle d’effets coordonnés : Renan, Langues sémitiques, 1er chapitre. —  Mommsen, Comparaison des civilisations grecque et romaine, 2e chapitre, 1er volume, 3e édition

772. (1866) Cours familier de littérature. XXII « CXXIXe entretien. Fior d’Aliza (suite) » pp. 129-192

Fior d’Aliza (suite) Chapitre VII (suite) CCXVI — Oui, j’ai pensé en moi-même : ne disons rien ; qu’il nous suffise de soupçonner qu’elle est là ; que son cousin n’y est probablement pas loin d’elle ; que le bon Dieu, en permettant ce rapprochement, a peut-être un dessein de bonté sur le pauvre prisonnier comme sur vous-mêmes, et attendons que le mystère s’explique avant d’y mêler nos indiscrètes curiosités et nos mains moins adroites que celles de l’amour innocent ! […] Chapitre VIII CCXX — À toi, maintenant, dit l’aveugle à Fior d’Aliza, raconte à l’étranger ce qui s’était passé dans la prison pendant cette lugubre agonie de nos deux âmes dans la cabane. […] Chapitre IX CCXLI La tante alors, au lieu de parler, se prit à pleurer à chaudes larmes, le visage caché dans son tablier.

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