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298. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 238

Avec du talent pour écrire l’Histoire, il ne s’est attaché qu’à des Vies particulieres, dont on ne peut blâmer que le style quelquefois inégal, & souvent trop diffus.

299. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — V — Valabrègue, Antony (1844-1900) »

Antony Valabrègue a sa place dans ce groupe d’écrivains qui se sont attachés tout spécialement à décrire Paris et ses aspects pittoresques, sa vie, ses amours, ses plaisirs en même temps que la campagne environnante et les bois à la fois mystérieux et bruyants de la banlieue.

300. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 210

Cette Histoire n’est cependant pas dépourvue de recherches, de méthode, de netteté ; qualités peu suffisantes pour attacher le commun des Lecteurs, & encore moins ceux qui ne goûtent les faits, qu’autant qu’ils sont présentés vivement & avec un coloris propre à les faire valoir.

301. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 319

Il faut, pour être assuré de toujours plaire, sur-tout dans le genre de l’apologue, s’attacher à des ressorts plus puissans, c’est-à-dire à cette chaleur vivifiante qui naît de la force du sentiment & que l’esprit ne sauroit jamais suppléer, à cette variété de tours & d’images qui réveille l’attention & écarte l’ennui, & sur-tout à ce choix d’expressions nobles & figurées qui distingue le vrai Poëte du froid Versificateur.

302. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 474

Il s’est attaché, dans le style, à la maniere de Bourdaloue ; &, sans avoir, comme son modele, cette profondeur & cette plénitude de raisonnemens qui le rendent original, il a quelquefois plus de chaleur & des traits d’élévation propres à ranimer l’attention de l’Auditeur ou du Lecteur.

303. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » p. 395

Le goût des Lettres a fait d’abord ses délassemens, & il l’a dirigé ensuite vers l’Art militaire, auquel il s’est particuliérement attaché.

304. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Doyen » p. 102

Virginie est manquée ; ce n’est ni Appius ni Claudius ni le père ni la fille qui attachent ; mais des gens du peuple, des soldats et d’autres personnages qui sont aussi du plus beau choix ; et des draperies d’un moelleux, d’une richesse et d’un ton de couleur surprenant.

305. (1856) La critique et les critiques en France au XIXe siècle pp. 1-54

Rarement elle s’attachait, comme Longin dans quelques excellents chapitres, comme Denys d’Halicarnasse dans quelques insipides traités, à faire ressortir le mérite d’un ouvrage ou le caractère d’un écrivain. […] Les grands siècles étant généralement connus, et les époques stériles pour l’art présentant assez souvent des mœurs, des événements, une physionomie piquante, notre histoire littéraire s’attache volontiers à ces époques et glisse aisément de l’esthétique dans l’anecdote. […] Ils s’attachèrent de préférence, l’un à l’Allemagne, l’autre à l’Écosse (au moins par sa méthode) : mais tous deux marquèrent leurs travaux d’une forte empreinte française et cartésienne. […] Chose étrange et pourtant vraie, le vice originel de l’école romantique ce fut de rester attachée au principe de la poétique d’Aristote ; de croire que l’imitation de la nature est l’essence de l’art. […] De la critique périodique au XIXe siècle Quels que soient le mérite et l’éclat de l’histoire littéraire et des théories qui prétendent sonder la base des beaux-arts, la critique qui s’attache aux œuvres contemporaines me semble à la fois plus malaisée et plus utile.

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