Il le redira sous toutes les formes à ses correspondants de toute qualité, à Louis XVIII lui-même et au comte d’Artois ou à ses amis, il ne faut pas s’exagérer les chances d’un mouvement royaliste en France.
Elle aimait les vers et elle en faisait, et s’en faisait faire par des poètes à ses gages et qu’elle traitait volontiers en amis.
Mon seul vœu, c’est qu’en avançant, et sûr désormais de lui et de tous, comme il l’est et le doit être, il se méfie moins, qu’il s’abandonne parfois à l’essor, et qu’il ose tout ce qu’il sent ; voyageur, qu’il laisse étinceler cette larme amoureuse du beau, qui lui échappe en présence du Parthénon ou des marbres ioniens de l’Asie Mineure ; romancier, qu’il continue d’appliquer ses burins sévères et qu’il craigne moins, jusque dans la passion ou dans l’ironie, de laisser percer quelque attendrissement ; historien, qu’il laisse arriver quelque chose aussi de l’éloquence jusque dans la fermeté de ses récits ; que, dans la grande et maîtresse histoire qu’il prépare, il réunisse tous ces dons, et comme toutes ces parties séparées de lui-même, qu’il a perfectionnées avec tant de soin une à une ; qu’il les fonde et les rassemble désormais, et qu’il accomplisse avec toutes les forces qu’il possède, et avec ce feu qui unit le cœur à la volonté, cette belle histoire de Jules César, du plus ami de l’esprit entre les conquérants, du plus aimable entre les grands mortels.
Madame de Staël, exilée à quarante-cinq lieues de Paris, s’arrête aux quarante-cinq lieues juste, à Beaumont-sur-Loire, et de là écrit à ses amis.
Nisard reproche à ce célèbre écrivain ; et les plus sympathiques amis de Rousseau sont obligés de reconnaître que tous ces reproches sont fondés.
Mais, il faut bien le dire, l’observation du romancier ressemblait à l’amour de son ami Chamfort.
VI Louis Ratisbonne, l’ami de cet Alfred de Vigny qui a laissé dans la mémoire des hommes l’impression d’un parfum et d’une harmonie, a publié en volume les pensées et les fragments de mémoires que lui a légués l’auteur d’Éloa ; Alfred de Vigny avait eu, un moment, l’idée d’écrire ses mémoires.
La banqueroute du préraphaélisme En parcourant, l’an dernier, avec quelques amis, la section de peinture d’une exposition internationale, je fus frappé, comme eux, de la médiocrité des œuvres anglaises.