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331. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « HOMÈRE. (L’Iliade, traduite par M. Eugène Bareste, et illustrée par M.e Lemud.) —  premier article .  » pp. 326-341

Ils commentaient Corneille, ils analysaient Racine ; mais, dès qu’il s’agissait des Anciens, le temps manquait évidemment ; on courait, on tranchait d’un mot. […] Corneille et Racine, pour nous autres Français, sont beaucoup trop voisins ; entre eux et nous il y a une lignée ininterrompue d’imitateurs qui nous empêche de les mesurer.

332. (1888) La critique scientifique « La critique scientifique — Évolution de la critique »

La critique scientifique — Évolution de la critiquebz La critique littéraire qui a débuté aux temps modernes et en France par les examens de Corneille et de Racine, par Boileau et Perrault, apparut comme un genre distinct dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, dans ce pays, avec La Harpe et les Salons de Diderot, en Angleterre avec Addison, en Allemagne avec Lessing. […] Concernant ce dernier travail, inscrit dans la lignée du Racine et Shakespeare de Stendhal, nous renvoyons en particulier à Brunetière, « Classiques et romantiques », Etudes critiques sur l’Histoire de la Littérature française, Hachette, 1890.

333. (1860) Ceci n’est pas un livre « Décentralisation et décentralisateurs » pp. 77-106

Je crois même qu’ils ne pardonneraient pas à Racine, s’ils n’avaient entendu dire que Racine est un élève des anciens.

334. (1818) Essai sur les institutions sociales « Chapitre IV. Des changements survenus dans notre manière d’apprécier et de juger notre littérature nationale » pp. 86-105

Ainsi Horace, Virgile, Boileau, et Racine, sont, en quelque sorte, contemporains, et parlent presque la même langue. […] Voyons-nous à présent beaucoup de femmes lire avec charme et Nicole et Bourdaloue, et préférer Corneille à Racine ?

335. (1733) Réflexions critiques sur la poésie et la peinture « Première partie — Section 23, quelques remarques sur le poëme épique, observation touchant le lieu et le tems où il faut prendre l’action » pp. 179-182

Qu’on voïe avec quel succès Corneille les a traitez dans Polieucte et Racine dans Athalie.

336. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — D — Dorchain, Auguste (1857-1930) »

— À Racine, à-propos en vers (1888). — Sans lendemain, poésie (1890). — La Jeunesse pensive, avec préface de Sully Prudhomme (1893). — Vers la lumière, poésies (1894). — Rose d’automne, comédie en un acte, en vers (1894)

337. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — F — France, Anatole (1844-1924) »

. — Racine et Nicole ; La Querelle des imaginaires (1875). — Les Noces corinthiennes, Leuconoé, la Veuve, la Pia, la Prise de voile (1876). — Lucile de Chateaubriand, étude (1879). — Jocaste et le Chat maigre (1879). — Le Crime de Sylvestre Bonnard (1881). — Les Désirs de Jean Servien (1882). — Abeille, conte (1883). — Le Livre de mon ami (1885). — Nos enfants, scène de la ville et des champs (1887)

338. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 120-124

C’est au Public à décider si notre Ouvrage, où nous nous sommes interdit toute personnalité, est un Libelle ; si nous y déchirons Corneille, Racine, Crébillon, Moliere, Lafontaine, Boileau, Pascal, Fénélon, d’Aguesseau, Bossuet, Descartes, Malebranche, Bourdaloue, Massillon, Montesquieu, Buffon, J.

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