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266. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — A — Alletz, Édouard (1798-1850) »

. — Études poétiques du cœur humain (1839). — Esquisse de la souffrance morale, 2 vol […] Frédéric Deville De bonne heure, son goût naturel le portait vers les études morales et religieuses ; il s’essaya, de bonne heure aussi, dans cette double voie, et, soit qu’il ait écrit en prose, soit qu’il ait demandé à la poésie ses inspirations, partout et toujours il a conservé intact le caractère qu’il avait revêtu, le caractère d’écrivain moraliste.

267. (1861) Cours familier de littérature. XI « LXIVe entretien. Cicéron (3e partie) » pp. 257-336

« Ainsi, dans celui que j’ai intitulé Hortensius, je les ai exhortés de tout mon pouvoir à se livrer à l’étude de la philosophie. […] « Ce n’est pas que j’espère, ce qui n’est même pas à demander, que tous les jeunes gens se livrent à cette étude. […] « Pouvoir se passer des Grecs dans l’étude de la philosophie sera sans doute glorieux pour les Romains : eh bien ! […] La vie privée m’offrait plus de charmes qu’à tout autre : car je cultivais depuis mon enfance les études libérales, si variées, si délicieuses pour l’esprit. […] Il était d’une santé faible, et c’est là qu’il a passé dans l’étude des lettres presque toute sa vie.

268. (1829) Tableau de la littérature du moyen âge pp. 1-332

Je laisse donc de côté cette étude intéressante. […] C’est ici que notre étude sur le moyen âge présente plus d’une difficulté, qu’il faut éluder discrètement. […] Cette étude nous montrera, dans sa naïveté, le pieux héroïsme du moyen âge. […] Un critique habile, La Harpe, a dédaigné ces études. […] Comme elles tiennent au fond même de notre nature, elles reparaissent sitôt que notre esprit s’exerce par l’étude.

269. (1861) Cours familier de littérature. XI « LXIIIe entretien. Cicéron (2e partie) » pp. 161-256

C’est l’amour de la campagne qui multipliait en lui le goût et le temps des études. […] La nature et l’étude l’avaient façonné pour ces luttes ; l’habitude de plaider des questions judiciaires devant les tribunaux inférieurs l’avait exercé. […] Le son de voix, l’attitude, les gestes, étaient l’objet d’une étude dont Tacite, Cassius, Brutus, Quintilien et Cicéron donnent les règles dans leurs traités. […] Appliquons-nous donc à cette étude, si vous m’en croyez ; mettons-nous à part de notre corps et accoutumons-nous à mourir. […] Chacun, en effet, est guidé par ses études de prédilection.

270. (1864) Cours familier de littérature. XVII « CIe entretien. Lettre à M. Sainte-Beuve (1re partie) » pp. 313-408

Vous y trouviez, comme Voltaire lui-même, un beau ciel, un beau lac, de l’étude et des amitiés. […] « Cependant, au milieu de ces tourments intérieurs, Joseph poursuivait avec constance les études relatives à sa profession. […] Il est pauvre, et jusqu’aux livres de son étude, il s’en passe, faute de quoi. […] qui ne plaindrait cet homme de vingt ans (car on est homme à vingt ans quand on est resté pur), en le voyant, sous la tuile, mendier dans l’étude une vaine et chétive distraction ; non pas dans une étude profonde, suivie, attachante, mais dans une étude rompue, par haillons et par miettes, comme la lui fait le denier de la pauvreté ? […] L’étude d’abord semble lui offrir une distraction pleine de charme et puissante avec douceur ; mais la curiosité de l’esprit, qui est le mobile de l’étude, suppose déjà le sommeil du cœur plutôt qu’elle ne le procure ; et c’est ici le cœur qu’il s’agit avant tout d’apaiser et d’assoupir.

271. (1805) Mélanges littéraires [posth.]

Je suis bien éloigné de désapprouver l’étude d’une langue dans laquelle les Horace et les Tacite ont écrit ; cette étude est absolument nécessaire pour connaître leurs admirables ouvrages : mais je crois que l’on devrait se borner à les entendre, et que le temps qu’on emploie à composer en latin est un temps perdu. […] Malgré le peu de cas que l’on paraît faire, dans les collèges, de l’étude de l’histoire, c’est peut-être l’enfance qui est le temps le plus propre à l’apprendre. […] Ce plan d’étude irait, je l’avoue, à multiplier les maîtres et le temps de l’éducation. […] Au reste, c’est au gouvernement, comme je l’ai dit, à faire changer la routine et l’usage ; qu’il parle, et il se trouvera assez de bons citoyens pour proposer un excellent plan d’études. […] L’usage des premiers peut faciliter jusqu’à un certain point l’étude des langues mortes ; et à l’égard des autres, ils ne serviraient, si on s’y bornait, qu’à apprendre très imparfaitement la langue : l’étude des bons auteurs dans cette langue, et le commerce de ceux qui la parlent bien, sont le seul moyen d’y faire de véritables et solides progrès.

272. (1836) Portraits littéraires. Tome II pp. 1-523

Scribe, si remarquable par l’abondance et la nouveauté des idées, n’est pas moins digne d’étude sous le rapport du style. […] L’étude et la clairvoyance suffisent amplement. […] Toutefois c’est la meilleure étude que nous ayons au théâtre sur notre histoire. […] Il passe les nuits dans l’étude et le jour dans les imprécations. […] juger l’habileté, le bonheur ou la puissance de leurs études ?

273. (1862) Notices des œuvres de Shakespeare

Notice sur Hamlet Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot, nouvelle édition entièrement revue, avec une étude sur Shakespeare, des notices sur chaque pièce et des notes, Paris, Didier, 1862, tome premier, p. 131-137. […] D’ailleurs, le lecteur trouvera à la fin de ce volume un Appendice consacré à la comparaison des différents textes de Hamlet, et cette étude plus générale lui fournira, nous l’espérons, quelques raisons encore de conclure comme nous sur le point du débat spécial auquel nous avons dû nous borner ici. […] Notice sur Jules César Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot, nouvelle édition entièrement revue, avec une étude sur Shakespeare, des notices sur chaque pièce et des notes, Paris, Didier, 1862, tome II, p. 3-7. […] Notice sur Macbeth Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot, nouvelle édition entièrement revue, avec une étude sur Shakespeare, des notices sur chaque pièce et des notes, Paris, Didier, 1862, tome II, p. 219-229. […] Notice historique sur les poèmes de Shakspeare Œuvres complètes de Shakespeare, traduction de François Guizot, nouvelle édition entièrement revue, avec une étude sur Shakspeare, des notices sur chaque pièce et des notes, Paris, Didier, 1863, tome VIII, p. 329-330.

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