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985. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « Poésies, par Charles Monselet »

. — Le musée secret de Paris. — Les ruines de Paris. — Figurines parisiennes. — Les tréteaux. — Le théâtre du Figaro, etc. […] Solar l’appela à Paris quand il fonda l’Époque, cette feuille immense pour le temps.

986. (1868) Nouveaux lundis. Tome X « De la poésie en 1865. (suite et fin.) »

Il avait épuisé depuis longtemps à Paris la dose d’admiration et d’attention dont nous sommes capables et qui est disponible chez nous pour les choses et les personnes de passage. […] Je l’avais vu arriver de Rennes à Paris, vers 1830, avec son compatriote et camarade Hippolyte Lucas, et je me rappelle encore la visite que je leur fis à tous deux dans l’hôtel où ils avaient débarqué à un coin de la rue Saint-Honoré. […] Luzel ; un vol. in-18, Morlaix, à Nantes, et à Paris chez Hachette ; 1865.

987. (1869) Nouveaux lundis. Tome XI « Œuvres choisies de Charles Loyson, publiées par M. Émile Grimaud »

Un jour que Cousin et Patin en course dans Paris avaient pris pour abréger à travers les Halles, une poissarde les montrant du doigt à l’une de ses commères dit ce mot qui pourrait servir de légende ironique par opposition aux Horace Vernet et aux Charlet : « Et qu’on disait qui n’y avait pus d’hommes dans Paris ! […] Ceci laisse assez clairement entrevoir que, bien que Loyson fût mort à Paris, il n’avait pas été donné à ses anciens amis de l’Ecole normale de l’approcher dans sa maladie dernière et il ses instants suprêmes » .

988. (1862) Portraits littéraires. Tome I (nouv. éd.) « Jean-Baptiste Rousseau »

Né en 1669 ou 70 à Paris, d’un père cordonnier, qu’il renia plus tard, ou qu’au moins il aurait certainement troqué très-volontiers contre un autre, Jean-Baptiste Rousseau se sentit de bonne heure l’envie de sortir d’une si basse condition. […] Il avait vu à Londres Saint-Évremond ; à Paris, il était des familiers du Temple, des habitués du café Laurens ; il s’essayait au théâtre par de froides comédies ; il paraphrasait les psaumes que le maréchal de Noailles lui commandait pour la cour, et composait pour la ville d’obscènes épigrammes, qu’il appelait les Gloria Patri de ses psaumes. […] On lui a fait honneur, et Chaulieu l’a félicité agréablement, d’avoir refusé une place dans les Fermes, que lui offrait le ministre Chamillart ; mais ce refus nous semble moins tenir à des principes d’honorable indépendance, qu’au goût qu’avait Rousseau pour la vie de Paris et les tripots littéraires.

989. (1886) Les contemporains. Études et portraits littéraires. Deuxième série « J.-J. Weiss  »

Il adore l’Athènes d’autrefois et ceux qui en ont exprimé l’âme, le Paris d’à présent et ceux qui en traduisent l’esprit. Il se pique de connaître Paris dans ses recoins ; il nous signale dans une chronique, tel restaurant voisin des Halles centrales ; il hante le boulevard Bonne-Nouvelle le samedi, le jour des juives : « Éblouissant, ce boulevard, de deux à quatre, quand les filles de Sion débouchent par essaims… » Il n’aime rien tant que le théâtre de Sophocle, sinon peut-être celui de Meilhac et Halévy. […] Écoute ceci, et dis-moi si l’esprit, le pur esprit, l’esprit tempéré et fin, l’esprit qui se contient et se gouverne, la plus intime essence de nous-mêmes enfin, gens de Paris, de Gascogne et de Champagne, ne peut pas être une source de poésie tout aussi bien que l’imagination exaltée, les passions furieuses, le cœur qui se ronge et l’hypocondrie !

990. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « La Religieuse de Toulouse, par M. Jules Janin. (2 vol. in-8º.) » pp. 103-120

Député à Paris à l’Assemblée du clergé de 1656 (à cette heure décisive des Provinciales), il y contracta des liaisons avec les principaux chefs du parti janséniste. […] Mme de Mondonville fit alors un voyage à Paris, et s’y concilia d’autres protecteurs, particulièrement M.  […] Sur la nouvelle du danger, Mme de Mondonville courut à Paris.

991. (1857) Causeries du lundi. Tome II (3e éd.) « Lettres de Mme de Graffigny, ou Voltaire à Cirey. » pp. 208-225

Un homme de lettres doit vivre dans un pays libre, ou se résoudre à mener la vie d’un esclave craintif, que d’autres esclaves jaloux accusent sans cesse auprès du maître… Il n’y a pas d’apparence que je revienne jamais à Paris m’exposer aux fureurs de la superstition et de l’envie. […] Je n’aurai qu’un mot à dire de Mme de Graffigny, du moment qu’elle a quitté Cirey pour Paris et qu’on n’a plus affaire qu’à elle seule. […] Mme de Graffigny vivait donc à Paris, avec un certain état de maison, moyennant de petites pensions des cours de Lorraine et de Vienne et d’assez grosses dettes, quand la chute de La Fille d’Aristide, comédie en cinq actes sur laquelle elle comptait fort, vint lui porter un coup fâcheux : « Elle me la lut, dit Voisenon ; je la trouvai mauvaise ; elle me trouva méchant.

992. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Ducis. » pp. 456-473

Quand Voltaire, quittant Ferney, était arrivé à Paris pour y triompher et y mourir, Ducis n’avait point fait comme tous les gens de lettres qui étaient allés lui rendre hommage, et, n’étant pas connu de lui, il n’avait pas cru devoir le visiter. […] C’était le temps où Bonaparte, qui avait fort goûté Ducis, et qui lui avait fait beaucoup d’avances pendant son séjour à Paris après la première campagne d’Italie, jusqu’à vouloir l’emmener avec lui dans l’expédition d’Égypte, fondait un gouvernement nouveau et cherchait à y rattacher tout ce qui avait nom et gloire. […] Et à Bernardin de Saint-Pierre, il exprime la même idée par une autre image : Je ne sais plus trop quand je reviendrai à Paris.

993. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Villars — V » pp. 123-131

Lorsque le maréchal quitta en 1708 l’armée d’Allemagne, elle revint à Paris, étant restée jusque-là, pendant les campagnes, à Strasbourg, et il lui échappa de dire « qu’enfin elle quittait le service ». […] Je vous rends mille grâces de vos nouvelles ; le marquis17 a vu avec douleur le théâtre fermé, et sur cela il prend la résolution d’aller à son régiment ; ma chaise de poste, qui le mènera à Paris samedi, vous ramènera ici dimanche.

994. (1874) Premiers lundis. Tome II « Quinze ans de haute police sous Napoléon. Témoignages historiques, par M. Desmarest, chef de cette partie pendant tout le Consulat et l’Empire »

L’officier de marine, napolitain, Muller d’Amélia, débarqua d’un bâtiment royal en Illyrie, auprès du maréchal Marmont, qui le dirigea sur Paris. […] Selon sa conjecture, en effet, l’empereur Alexandre, s’il fût entré à Paris accompagné du général Moreau, l’aurait investi du pouvoir, d’accord avec le Sénat et avec les chefs de l’armée ; c’était l’arrière-pensée de la politique russe qui se fût ainsi assurée à la fois contre Napoléon et contre les Bourbons.

995. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Note sur les éléments et la formation de l’idée du moi » pp. 465-474

Il fallut qu’un de mes amis s’offrît pour m’accompagner ; sans cela, je ne serais pas parti, et pourtant, à cause de mon hyperesthésie de l’ouïe, je prévoyais l’état affreux où me mettrait le bruit du siège à Paris. […] De la névropathie cérébro-cardiaque, par le Dr Krishaber, Paris, 1873, chez Masson. — L’ouvrage contient trente-huit observations.

996. (1920) La mêlée symboliste. I. 1870-1890 « Les petites revues » pp. 48-62

La nouvelle série s’ouvre par un manifeste : la Décadence, où on lisait ceci : « Notre époque, fleurie de crimes habilement forfaicturés, de cabarets et de tavernes aux prétentions littéraires et aux vitraux peints, de prostitution étonnamment raffinée, de perversité cruelle et de blasement général, nous est l’image fidèle de l’ère des derniers Césars… Notre fin de dix-neuvième siècle, en notre Paris fait un peu de Rome, s’écartant de l’ornière creusée par le Roi-Soleil, dans les lettres, devait être taxée de Décadence. […] C’est du tournage de vocables vides, en chambre ; mais enfin la poésie est au-dessus de ces tourneurs et, par les temps utilitaires qui courent, il me semble qu’elle devrait être, à la suite de Baudelaire et de Verlaine, l’un des factices véhicules des esprits détenus, — quelque chose de vague comme une musique qui permette de rêver sur des au-delà, loin de l’américaine prison où Paris nous fait vivre.

997. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 140-155

Rousseau, [Jean-Jacques] né à Geneve en 1712, mort près de Paris en 1778. […] Sa Lettre contre la Musique Françoise, son Dictionnaire de Musique, quoiqu’il doive beaucoup à celui de l’Abbé Brossard, ses Lettres de la Montagne, celle à l’Archevêque de Paris, prouvent qu’il étoit en état de s’exercer supérieurement dans tous les genres, & d’embellir, par son éloquence, les matieres qui en paroissent le moins susceptibles.

998. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome I « Mémoires pour servir à l’histoire des gens-de-lettres ; et principalement de leurs querelles. Querelles particulières, ou querelles d’auteur à auteur. — Corneille, et le cardinal de Richelieu. » pp. 237-252

Tout Paris avoit lu cette brochure avant que Corneille sçût qu’on l’eût faite. […] Un jour le roi demanda au premier ce qu’il y avoit de nouveau dans la littérature à Paris.

999. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Première Partie. Des Langues Françoise et Latine. — L’orthographe, et la prononciation. » pp. 110-124

L’impossibilité de sçavoir comment il faut prononcer la pluspart des mots latins, & les idées, à cet égard, des modernes latinistes mirent autrefois en combustion l’université de Paris & le collège Royal. […] L’université de Paris vouloit qu’on prononçât kiskis, kankam.

1000. (1767) Salon de 1767 « Les deux académies » pp. 340-345

Les élèves y jouissent des mêmes prérogatives qu’à Paris et ils y ont cent francs de plus par an. Il sort tous les ans de l’école de Paris trois élèves qui vont à l’école de Rome et qui font place ici à trois nouveaux entrans.

1001. (1906) Les œuvres et les hommes. Poésie et poètes. XXIII « Roger de Beauvoir »

A Montreuil pourtant, Couturier Nous vend des pêches odorantes ; Paris connaît son espalier ; De Madrid, on vient le prier Pour en greffer chez les infantes ! […] Tout le monde la sait dans cette ville de cristal sonore à travers lequel on voit et l’on entend et qui s’appelle Paris.

1002. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre XXII. Des panégyriques latins de Théodose ; d’Ausone, panégyriste de Gratien. »

Maxime était un général des troupes romaines en Angleterre, qui, révolté contre Gratien, l’avait joint à Paris, lui avait enlevé son armée sans combattre, et l’avait ensuite fait assassiner à Lyon. […] Gratien, qui eut de la faiblesse et du zèle, qui posséda peut-être le courage militaire, mais à qui le courage d’esprit et les talents manquèrent, que les écrivains d’un parti ont comparé aux meilleurs princes, que ceux du parti contraire ont comparé à Néron ; Gratien, dont le plus grand mérite peut-être est d’avoir, élevé Théodose à l’empire, et qui, après un règne de huit ans, mourut à vingt-quatre, vaincu à Paris et assassiné à Lyon, eut aussi ses panégyristes.

1003. (1900) La culture des idées

Flourens ; Paris, Garnier, 1860. […] Paris, J. […] Paris, 1891. […] Paris, 1847. […] (Paris, 1598, in-folio).

1004. (1922) Nouvelles pages de critique et de doctrine. Tome II

Une famille de province, même médiocrement rentée, pouvait, dans ces conditions, entretenir à Paris un garçon d’avenir. […] Remercions les maîtres de l’Institut catholique de Paris d’avoir rempli ce devoir. […] Nous apprenons, par exemple, que le chiffre des arrestations opérées pour ce trafic était de 53, à Paris, en 1916, et qu’en 1920 il est monté à 151. […] C’est à Paris que se développent les grandes destinées scientifiques, artistiques et littéraires, à Paris que siègent les directions de nos grandes voies de communication, nos principales banques, nos grandes revues et nos grands journaux. […] Dans cette randonnée de Paris en Provence que j’imaginais tout à l’heure, que de ruines le voyageur rencontre !

1005. (1913) Poètes et critiques

Le succès fut tel que les centres de lecture se multiplièrent ; il y en eut bientôt dans tout Paris. […] Quand les acteurs anglais vinrent jouer Shakespeare à Paris, en 1828, ils avaient supprimé le personnage du fou. […] Les encouragements de l’académicien Pierre Lebrun aidant, Hégésippe partit pour Paris à la conquête de la gloire. […] Il avait compulsé, à Nevers, des livres de zoologie ; de retour à Paris, il travaille à se munir de connaissances en médecine et en physiologie. […] Mais dans quel coin du Paris de 1875 le repris de justice Verlaine eût-il trouvé cet indispensable complice ?

1006. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article »

MASSON, [Pierre-Toussaint] Trésorier de France, né à Paris en 1715.

1007. (1870) De l’intelligence. Première partie : Les éléments de la connaissance « [Dédicace] » p. 

Je dédie ce livre à la mémoire de Franz Woepke, orientaliste et mathématicien, mort à Paris au mois de mars 1864.

1008. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 51

COSSART, [Gabriel] Jésuite, né à Pontoise en 1615, mort à Paris en 1674, Orateur Latin, dont les Discours prouvent tout à la fois que la belle Eloquence peut être le partage d’un homme de Collége, & la belle Latinité celui d’un Auteur moderne.

1009. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article »

Brienne, [Henri-Auguste de Lomenie, Comte de] Secrétaire d’Etat, né à Paris en 1595, mort en 1666.

1010. (1883) Le roman naturaliste

Dans le Ventre de Paris, c’est à l’agitation des Halles centrales que M.  […] Mais l’auteur du Ventre de Paris en sera quitte pour nier la psychologie. […] Le Senne et Texier, de rendre à « tout Paris » ce que « tout Paris » leur a prêté ; le tout Paris des journaux, c’est-à-dire des courses et des premières représentations. […] On fait aujourd’hui trop de pièces pour le public des premières et trop de romans pour les lecteurs de Paris, et d’un certain Paris encore, qui n’est pas tout Paris. […] La province, en France, ne vit plus de sa vie, mais de la vie qu’elle reçoit de Paris.

1011. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article »

Baluze, [Etienne] né à Tulles en 1631, mort à Paris en 1718.

1012. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article »

Argenville, [Antoine – Joseph Dezallier d’] Maître des Comptes, de la Société Royale de Londres & de Montpellier, né à Paris, mort en 1765.

1013. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article »

] née à Paris en 1718, morte dans la même ville en 1768.

1014. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 101

DAIRE, [Louis-François] Bibliothécaire des Célestins de Paris, né à Amiens en 1713.

1015. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des recueils poétiques — Dédicace, préface et poème liminaire de « La Légende des siècles » (1859) — Dédicace (1859) »

Poésie, tome V, Paris, Imprimerie nationale, Librairie Ollendorff, 1910, p. 3.

1016. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — F. — article »

FARET, [Nicolas] de l’Académie Françoise, né à Bourg en Bresse en 1599, mort à Paris en 1646.

1017. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article »

Côme à Paris ; n’est connu que par la peine inutile qu’il s’est donnée de traduire ou plutôt de travestir en Vers latins les Œuvres poétiques de Despreaux.

1018. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article »

LABOUREUR, [Jean le] Aumônier du Roi, né à Montmorency, près de Paris, en 1623, mort en 1676.

1019. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 458

PARFAIT, [François] né à Paris en 1698, mort en 1753.

1020. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 479

PELETIER, [Pierre le] né à Paris, mort en 1680 ; Poëte médiocre, qui faisoit des Sonnets médiocres, à la louange de tous les Ouvrages médiocres de son temps.

1021. (1889) Impressions de théâtre. Troisième série

Et la ballade des femmes de Paris ! […] Tout Paris voudra les voir. […] Tout Paris venait chez lui. […] dans quelle ruelle tortueuse du vieux Paris ? […] de quel cœur les électeurs de Paris l’ont applaudi, ce brave chevalier !

1022. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — C — Campaux, Antoine-François (1818-1901) »

Campaux, un poète aussi, un disciple de Villon, disciple sérieux, ennoblissant, qui relève en l’imitant le vieil écolier de Paris tout étonné d’être un maître.

1023. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article »

Staal, [Madame de] connue d'abord sous le nom de Mlle de Launay, née à Paris, morte en 1750.

1024. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article » p. 170

Asselin, [Gilles-Thomas] Docteur de Sorbonne, Principal du Collége d’Harcourt, né à Vire en Normandie, mort à Paris en 1767, âgé de 85 ans.

1025. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — H — article » p. 487

HAUTEROCHE, [Noël le Breton, sieur de] mort à Paris en 1707, à 90 ans.

1026. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article » p. 411

NICOLE DE LA CROIX, [Louis-Antoine] né à Paris en 1704, mort dans la même ville en 1760.

1027. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article »

Riuperoux, [Théodore de] né à Montauban en 1664, mort à Paris en 1706, Poëte tragique, Auteur d'une Hypermnestre moins chargée de machines, mais beaucoup mieux conduite, mieux versifiée que celle de M.

1028. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » p. 365

Touron, [Antoine] Dominicain, né à Graulhet, Diocese de Castres, en 1686, mort à Paris en 1775.

1029. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — V. — article »

Vigenere, [Blaise de] Secrétaire de Henri III, né dans le Bourbonnois en 1522, mort à Paris en 1596, Traducteur médiocre, mais littéral, des Commentaires de César, de l'Histoire de Tite-Live, & de quelques autres Auteurs Latins.

1030. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 259

Belleau, [Remy] né dans le Perche en 1527, mort à Paris en 1577, Poëte, ami de Ronsard, dont il imita moins la maniere que les autres Poëtes ses contemporains.

1031. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article »

Boucher d’Argis, [Antoine-Gaspard] Avocat au Parlement, né à Paris en 17..

1032. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article »

COMBEFIS, [François de] Dominicain, né à Marmande, dans le Diocese d’Agen, en 1605, mort à Paris en 1679 ; Compilateur laborieux & intelligent, à qui l’on doit une nouvelle Bibliotheque des Peres à l’usage des Prédicateurs, & des Traductions de plusieurs Ouvrages de Religion.

1033. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » p. 55

COSTE, [Pierre] né à Uzez, mort à Paris en 1747 ; Traducteur de l’Essai de Locke sur l’entendement humain, & Commentateur de Montagne & de la Fontaine, dont les remarques sont utiles pour l’intelligence de ces deux Auteurs.

1034. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » p. 315

Tarteron, [Jérôme] Jésuite, mort à Paris, sa patrie, en 1720, âgé de 75 ans.

1035. (1887) George Sand

Elle vient essayer de se refaire à Paris une existence nouvelle, en dehors de toutes les lois de l’opinion et de tous les instincts de son sexe. […] Mme Dupin, ne pouvant venir à bout de sa révolte, résolut de la mettre au couvent des Anglaises, qui était alors la maison d’éducation en vogue à Paris pour les jeunes filles de la haute société. […] Il n’y avait pas eu, à l’origine, de dissentiment absolu entre Mme Sand et Balzac, qu’elle rencontra plusieurs fois dans les années de son noviciat littéraire à Paris. […] C’était une bien vieille histoire que celle qui s’était passée vers 1833 et 1834 à Paris et à Venise. […] Elle se plaignait parfois de cette outrance dans la plaisanterie, et de ce qu’elle appelait, d’un mot qui revient souvent dans sa correspondance, la blague, chez les artistes et les lettrés de Paris.

1036. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 257

Belidor, [Bernard Foreste de] Inspecteur de l’Artillerie, des Académies des Sciences de Paris & de Berlin, mort en 1765, âgé de près de 70 ans.

1037. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article »

Bernier, [François] né à Angers, mort à Paris en 1668.

1038. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 326

Bongars, [Jacques] Conseiller d’Henri IV, né à Orléans, mort à Paris en 1612, à 58 ans.

1039. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article »

DAILLÉ, [Jean] Ministre Protestant, né à Chatelleraut en 1594, mort à Paris en 1670, a beaucoup écrit sur la Religion & sur divers sujets de controverse.

1040. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article »

DALIBRAY, [Charles Vion] né à Paris, mort en 1654, Poëte dont tous les Vers sont oubliés, excepté une Epigramme contre Montmort, fameux Parasite.

1041. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article »

MARCHAND, [Jean-Henri] Avocat au Parlement de Paris, Censeur Royal, né en 1718.

1042. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 254

Maur, né à Saint-Sever, petite Ville de Gascogne, en 1647, mort à Paris en 1717.

1043. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » p. 274

MAUMENET, [Louis] Abbé, né à Beaume en 1655, mort à Paris en 1716.

1044. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — A — article »

Arnaud, [Henri] Evêque d’Angers, frere du précédent, né à Paris en 1597, mort en 1692, n’est connu dans les Lettres que par cinq volumes de négociations qui font juger qu’il étoit aussi propre à agir en bon politique, qu’à écrire en bon Historien.

1045. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 383

Brillon, [Pierre-Jacques] Conseiller au Conseil de Dombes, né à Paris en 1671, mort dans la même ville en 1736.

1046. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article »

Chambre, [Marin Cureau de la] Médecin ordinaire du Roi, de l’Académie Françoise, mort à Paris en 1669, âgé de 75 ans.

1047. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 477

Chapelle, [Jean de la] Receveur général des Finances, de l’Académie Françoise, mort à Paris en 1723, n’étoit point parent du précédent, & ne lui ressembloit en rien du côté de l’esprit.

1048. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article »

Chardin, [Jean] né à Paris en 1643, mort à Londres en 1713.

1049. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 187

DOMAT ou D’AUMAT, [Jean] Avocat du Roi au Siége Présidial de Clermont en Auvergne, sa patrie, né en 1625, mort à Paris en 1696, célebre Jurisconsulte, & également versé dans les Langues & les Sciences.

1050. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article »

DUCOUDRAY, [Alexandre-Jacques-Louis] Chevalier & ancien Mousquetaire du Roi, né à Paris en 1744.

1051. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 392

GENNES, [Pierre de] Avocat au Parlement de Paris, mort en 1759.

1052. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article »

GOMBAUD, [Jean Ogier de] né à Saint Just de Lussac en Saintonge, mort à Paris en 1666, âgé de près de cent ans, Membre très-oublié de l’Académie Françoise, moins parce qu’il fut un des premiers reçus dans cette Compagnie, que parce qu’il étoit peu fait pour conserver la moindre réputation.

1053. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 147

LIONNE, [Hugues de] Ministre d’Etat, né en 1611, mort à Paris en 1671.

1054. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article »

Richer, [Edmond] Docteur de Sorbonne, né à Chource, dans le Diocese de Langres en 1560, mort à Paris en 1630.

1055. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article »

Ryer, [André du] Gentilhomme ordinaire de la Chambre du Roi, né dans le Mâconnois, mort à Paris vers l'an 1650.

1056. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article »

Targe, [Jean-Baptiste] ci-devant Professeur de Mathématique à l'Ecole Royale Militaire, né à Paris en 17..

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