Son début en littérature lui valut un prix extraordinaire de poésie, que lui décerna, en 1822, l’Académie française, et dont le sujet était la Peste de Barcelone.
Ses Poésies ne valent pas la peine qu’on en parle.
Après tout, les Auteurs où ils ont puisé les rêveries qu’ils débitent, ne valent guere mieux que Telliamed.
Elle lui valut sa place à l'Académie.
Il lui arrive de mettre trop de rubans et de pompons à son style, et de tourner l’astronomie en madrigaux ; si la science en est un peu rabaissée, la conquête des salons valait bien quelques sacrifices, et ce n’était pas trop l’acheter que de quelques fadeurs. […] Sa doctrine positive est la haine de l’intolérance et l’amour de la paix : il n’y a pas de vérité assez certaine pour valoir qu’on s’égorge.
Ses opinions sur le poème qu’il a traduit sont naturellement empreintes de cet enthousiasme nécessaire sans lequel nul homme, nul Sisyphe, n’aurait la force ni l’envie de rouler jusqu’au sommet de l’Himalaya cette pierre énorme d’une traduction d’un poème sanscrit ; mais cet enthousiasme ne peut pas beaucoup influer sur la Critique, qui prend les idées et les sentiments pour ce qu’ils valent, et non pour ce qu’ils ont coûté de peines à ceux qui les ont exprimés. […] Il faudrait s’indianiser par l’étude, perdre de la netteté de sa pensée, s’émousser et s’abaisser au niveau de l’engourdissement d’un peuple qui s’est peint tout entier dans le cadre de cet axiome : « Il vaut mieux être assis que debout, couché qu’assis, mort que vivant !
Pour ma part, doctrinalement parlant, je ne vois pas nettement qui vaut le mieux de Cabanis ou de La Mettrie. […] Il valait mieux que la prêtrise des philosophes de l’avenir inventée, depuis, par MM.