Et comme, pour obtenir cette vision globale, nous devrons nécessairement nous contenter de superposer ensemble des vues déjà prises, nous aurons quelque chance, en considérant de préférence les lignes qui coïncident, de ne pas nous tromper. c Disons d’abord que l’Inde a toujours pratiqué une religion comparable à celle de l’ancienne Grèce.
Mais ceci est bien (si je ne me trompe) de Mlle Dugard : San Francisco, 16 août. […] Il aimait une dame Oisille, par laquelle il fut trompé sans pudeur. […] Tout le temps que dura le trajet, la petite toque et les trois plumes demeurèrent penchées sur un in-douze, dont le frontispice bariolé représentait, si je ne me trompe, un château féodal, avec beaucoup de créneaux et mâchicoulis.
Néanmoins ce désir, toujours à demi trompé, implique une souffrance : c’est bien ce qui montre qu’il a un caractère sérieux et non simulé, qu’il demande réellement à être satisfait. […] « Ose le tromper et rêver », disait Schiller ; c’est la devise même de l’art. […] Les romantiques ne se trompent-ils pas eux-mêmes quand ils essayent de formuler les règles de leur art, et existe-t-il un seul beau vers de V.
Est-ce que je me trompe ?
On l’appelle Aly capi (A’âly qâpi), c’est-à-dire la porte Haute, ou la porte Sacrée, et non pas la porte d’Aly, comme quelques-uns pensent, trompés par la conformité du mot.
Comment a-t-on pu se tromper à ce point ?
Il est vrai que les poils du lion l’enveloppent souvent de telle sorte qu’on s’y trompe.