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591. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — O. — article » p. 435

Nous ne parlerons point de ses Ouvrages sur des matieres de Religion, que nous ne connoissons que par le titre.

592. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 178-179

Il a pour titre : L'Honneur François, ou Histoire des Vertus & des Exploits de notre Nation, depuis l'établissement de la Monarchie jusqu'à nos jours.

593. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — S. — article » pp. 299-300

Ce ne seroit pas un titre pour prétendre à la célébrité, s'il n'eût composé plusieurs autres Ouvrages qui font honneur à sa plume.

594. (1864) William Shakespeare « Préface »

Préface Le vrai titre de cet ouvrage serait : À propos de Shakespeare.

595. (1890) Les œuvres et les hommes. Littérature étrangère. XII « Préface »

Le fameux article qui fit tant de bruit quand il parut, en 1858, dans Le Réveil, sous ce titre : Le Roi des Bohèmes !

596. (1778) De la littérature et des littérateurs suivi d’un Nouvel examen sur la tragédie françoise pp. -158

Thomas, quel plus beau titre de gloire ! […] à quel titre ? […] D’autres (& j’en ai connus) traînent hardiment dans plusieurs maisons le titre d’hommes de lettres pour mieux voiler leur nullité, leur insuffisance, leur paresse, ou même pour exercer, à l’abri de ce nom, de vils métiers ; & plus le titre qu’ils usurpent écarte d’idées défavorables, plus ils se livrent à une obscure & basse avidité. […] Pourquoi faire une Comédie pour un titre ? […] Le titre est noir & sanglant.

597. (1856) Articles du Figaro (1855-1856) pp. 2-6

Buloz, avec ce titre : les Fleurs du Mal. […] Pour peu que vous ayez fait jouer une comédie ou un vaudeville, vous tenez à votre titre d’auteur dramatique. — Homme de lettres ! […] Et puis à quoi bon ce titre, qui a le tort de promettre cent fois plus qu’il ne doit tenir ? […] En revanche, — s’il a déserté le beau thème qui lui était indiqué par son titre, — il a triomphalement abordé et résolu les problèmes les plus impossibles de la phraséologie du burlesque. […] Peut-être trouverait-il dans le ventre de son stradivarius la poésie qui ne foisonne pas précisément dans son livre, et notre génération reconnaissante lui décernerait le titre glorieux d’Orphée de l’école réaliste.

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