Le sujet est bien simple. […] Ce ne sont point là, pensez-vous, de grands sujets de gaieté. […] Vous rappelez-vous le sujet ? […] Le vrai sujet de la pièce était la lutte de Scapin et de Tristan. […] Pourtant, le sujet de M.
C'est de l’école romantique dont nous sommes, de 1828 à aujourd’hui ; l’auteur, qui a fait le tour du monde en amateur et qui est un homme de près de quarante ans, est artiste dans le vrai sens ; il a médité et mûri ses différentes pièces et descriptions, y mêlant un sentiment moral, et les appropriant par le tour ou le sujet à quelque artiste du jour : L'Etna est dédié à Victor Hugo ; Émile Deschamps a une pièce qui résume heureusement et savamment tout l’art poétique moderne.
Il y a un certain article 17 (voyez-le, sur la concession, je crois, faite aux petits séminaires de fournir des sujets au baccalauréat) qui paraît aux purs universitaires très-compromettant pour l’Université et même destructif.
Tout lui est sujet de rêveries.
Actuellement encore, les trois règnes de la nature sont l’objet des travaux d’un poète, et l’on peut compter sur un bel ouvrage ; car le sujet est admirable, et le poète est M.
Qu’on se rappelle, par contre, l’allure tragique que Baudelaire a su donner à ses femmes damnées ; à elle seule, elle fait presque oublier le côté scabreux du sujet.
Il se peut que les sujets soient modernes ; ils sont traités d’après les traditions antiques.