Zola, parlant de l’insuccès du Bouton de rose, joué il y a une dizaine de jours, s’écrie : « Cela me rajeunit… Cela me donne vingt ans… Le succès de L’Assommoir m’avait avachi… Vraiment, quand je pense à l’enfilade de romans qui me restent à fabriquer, je sens qu’il n’y a qu’un état de lutte et de colère, qui puisse me les faire faire !
Ne nous dissimulons pas que c’est là essentiellement le côté faible par lequel les partisans de la philosophie théologique et de la philosophie métaphysique peuvent encore attaquer avec quelque espoir de succès la philosophie positive.
On n’a même pas essayé si une explication sociologique des mêmes phénomènes n’était pas possible et nous sommes convaincus qu’elle pourrait être tentée avec succès.
Effort magnanime auquel le succès n’a pas répondu27 !
Ce qui a fait le succès de tel jeune romancier « idéaliste » qui n’est qu’un fort médiocre écrivain, ce n’est point certes ce qu’on pourrait trouver, à la rigueur, d’art et de littérature dans ses romans ; c’est presque malgré son art (si mince soit-il) qu’il a plu, et parce qu’il a su flatter le gros besoin d’émotion, la sentimentalité et la banalité de ses lecteurs. Je néglige, parce qu’elle n’agit qu’à partir d’un certain moment une cause importante de succès : la mode. […] S’il est vrai que l’artiste jouit plus encore de l’œuvre conçue que du succès de l’œuvre achevée, M. […] Elle l’aiderait à sauver du mercantilisme littéraire et des succès déshonorants la délicate fierté de son art.
» — Il écrit à Catherine en 1771 pour la féliciter de ses succès contre les Turcs : « .. […] Dès 1771, il blâme énergiquement les officiers français qui vont mettre leur épée au service des Confédérés polonais : « Si je questionnais le chevalier de Boufflers, je lui demanderais comment il a été assez follet pour aller chez ces malheureux Confédérés qui manquent de tout et surtout de raison, plutôt que d’aller faire sa cour à celle qui va les mettre à la raison… Le malheureux manifeste des Confédérés n’a pas, eu grand succès en France. […] Voulant mettre un de ses ouvrages sous le nom d’un jeune Père Jésuite, réel ou imaginaire, il écrit au duc de Praslin en 1704 : « Vous pèserez, quand il en sera temps, l’importance extrême de mettre cela sous le nom d’un jeune Jésuite, qui, grâce à la bonté du Parlement, est rentré dans le monde et qui, comme Colletet et tant d’autres, attend son dîner du succès de son ouvrage. […] Masmonteil, il était alors « comme ces avocats qui finissent par plaider au civil après quelques succès retentissants d’assises. » — Et ensuite il en voulait aux robins.
II Cependant l’immense talent et l’immense succès des essais littéraires de Tourgueneff lui inspiraient la pensée de développer ce talent en romans plus humains, plus vastes et plus complets d’une seule pièce. […] Il eut du succès à Pétersbourg, contrairement à sa propre attente ; la princesse Koubensky, que M.