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1805. (1870) De l’intelligence. Deuxième partie : Les diverses sortes de connaissances « Livre quatrième. La connaissance des choses générales — Chapitre II. Les couples de caractères généraux et les propositions générales » pp. 297-385

Bien entendu, je parle seulement des doctrines qui ont un rôle sur la scène du monde, et des philosophes qui ont construit leurs doctrines sans autre souci que celui de la vérité. — Des deux réponses principales, Kant a fait la première.

1806. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxviiie entretien. Littérature germanique. Les Nibelungen »

« Sîfrit céda aux désirs du roi Gunther et de sa cour, et chaque soir il vit Kriemhilt la belle. » V Ici le poëme se sent des nouvelles orientales des Mille et une Nuits et des talismans surnaturels qui jouent un si grand rôle dans le Tasse et dans l’Arioste.

1807. (1895) Les confessions littéraires : le vers libre et les poètes. Figaro pp. 101-162

Après tout, comme dans une Trinité chaque personne a son rôle, celui de M. 

1808. (1896) Études et portraits littéraires

Son rôle en cette occasion fût-il donc, de tous points, honorable ? […] Le premier rôle, par malheur, ne lui appartenait pas dans ce procès.

1809. (1882) Essais de critique et d’histoire (4e éd.)

Il lui parle, elle lui répond ; il se charge de deux rôles, à la grande voix mâle et sonore, réplique par de doux petits cris. […] Vous croirez peut-être qu’en louant ainsi César, l’auteur lui permet tout ; non pas : il laisse un rôle aux grands corps, par exemple au sénat, rôle singulier du reste : c’est à eux de prêter leur nom, quand le maître en a besoin.

1810. (1826) Mélanges littéraires pp. 1-457

Cependant nous l’avouerons, si nous étions condamné à jouer souvent le triste rôle de censeur, ce qu’à Dieu ne plaise, nous aimerions mieux suivre l’exemple d’Aristote, qui, au lieu de blâmer les fautes d’Homère, trouve douze raisons (αριθμω δωδεκα) pour les excuser. […] Il est malheureux de rencontrer sans cesse cet homme célèbre dans l’histoire littéraire du dernier siècle, et de l’y voir jouer si souvent un rôle peu digne d’un honnête homme et d’un beau génie. […] Mais si le rôle de l’historien est beau, il est souvent dangereux !

1811. (1866) Histoire de la littérature anglaise (2e éd. revue et augmentée) « Livre IV. L’âge moderne. — Chapitre I. Les idées et les œuvres. » pp. 234-333

Ouvriers et bourgeois, affranchis, enrichis, parvenus, ils sortent des bas-fonds où ils gisaient enfouis dans l’épargne étroite, l’ignorance et la routine ; ils arrivent sur la scène, ils quittent l’habit de manœuvres et de comparses, ils s’emparent des premiers rôles par une irruption subite ou par un progrès continu, à coups de révolutions, avec une prodigalité de travail et de génie, à travers des guerres gigantesques, tour à tour ou en même temps en Amérique, en France, dans toute l’Europe, fondateurs ou destructeurs d’États, inventeurs ou rénovateurs de sciences, conquérants ou acquéreurs de droits politiques.

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