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562. (1825) Racine et Shaskpeare, n° II pp. -103

Vous me défiez, monsieur, de répondre à cette simple question : Qu’est-ce que la tragédie romantique ? […] Voilà toute la question. […] Je me contenterai de proposer une question. […] Il me reste toutefois bien des obscurités et bien des questions à vous faire. […] Voir la célèbre préface aux œuvres complètes de Shakspeare, imprimée en 1765 ; examen de cette question, en quoi consiste l’illusion théâtrale ?

563. (1902) Le problème du style. Questions d’art, de littérature et de grammaire

C’est le côté pédagogique de la question et le côté vain. Le véritable problème du style est une question de physiologie. […] Suivons notre martre sans plus de questions indiscrètes. […] Ici surgit la question Taine. […] En français la question du rythme se complique de la question de l’e muet.

564. (1876) Chroniques parisiennes (1843-1845) « LXXVII » pp. 306-312

c’est une question qu’il devient même inutile de se poser, puisqu’il ne le pouvait certainement avec sa nature personnelle et avec la forme absolue de son génie. […] — Le duc de Raguse vient de publier sous ce titre, Esprit des institutions militaires, un volume plein de feu, d’intérêt, de science et d’agrément ; il rend accessibles au lecteur une foule de questions qui semblaient du ressort des hommes spéciaux ; il fait comprendre la guerre, l’empereur, Wellington, le génie de la France et de l’Angleterre.

565. (1899) Esthétique de la langue française « Esthétique de la langue française — Chapitre Premier »

L’esthétique du mot, telle que j’essaierai de la formuler pour la première fois, aura d’abord ce point de contact avec la phonétique qu’elle ne s’occupera que par surcroît du sens verbal, tout à fait insignifiant dans une question de beauté physique : la signification d’un mot ni l’intelligence d’une femme n’ajoutent rien ni n’enlèvent rien à la pureté de leur forme. […] Ces mots, et une quantité d’autres, appartiennent moins à la langue française qu’à des langues particulières qui ne se haussent que fort rarement jusqu’à la littérature, et si on ne peut traiter certaines questions sans leur secours, on peut se passer de la plupart d’entre eux dans l’art essentiel, qui est la peinture idéale de la vie.

566. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « V »

C’est cette question du style qui nous a valu le plus d’attaques. […] Toute la question est là.

567. (1900) La culture des idées

N’y aurait-il pas dans la réponse à cette question tout un cours d’histoire ? […] Il y a là un intéressant sujet d’analyse, mais la question est assez compliquée. […] Voilà la question, qui n’en fut pas une pour les témoins oculaires. […] Mais la question ne se pose pas encore. […] Sur cette question M. 

568. (1903) Propos de théâtre. Première série

qui est en question. […] Mais voici que la question se complique et rend la réponse un peu moins commode. […] Mais la question posée, c’était Pauline au commencement de Polyeucte. […] La question reste obscure. […] Elle passionnait presque Stendhal, cette question.

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