On a publié depuis sa mort quelques carnets de notes de voyage, où les belles descriptions, les fortes émotions ne manquent pas : on sait ce que Michelet peut en ce genre. […] Éditions : Hist. de la conquête de l’Angleterre par les Normands, 18-25, 3 vol. in-8. dern. éd. préparée par l’auteur, 1858 ; Lettres sur l’Histoire de France (10 publiées en 1820 dans le Courrier Français), 1827, in-8 ; Dix Ans d’études historiques (presque tout a paru dans le Censeur Européen, le Courier Français et ailleurs, de 1817 à 1827), 1831, in-8 ; Récits des Temps mérovingiens, 9 vol. in-8, 1840 ; Essai sur l’Histoire de la formation et des progrès du Tiers État, 1853, in-8.
Et, quand il vient de publier un feuilleton de Montégut, il refuse de lui en prendre immédiatement un second. […] Le plus soigné et le plus prétentieux des livres naturistes, La tragédie du nouveau Christ, fut peut-être griffonné parce que Zola publiait à la même heure une série titrée Les Quatre Évangiles.
Il fait des découvertes navrantes, et il les publie. […] Ces lignes furent publiées dans la revue Les Partisans en mars 1901, au moment où paraissait La vérité en marche.
La nouvelle édition qui se publie en ce moment m’en fournira l’occasion et peut-être le moyen. […] Ce sont les volumes dont une seconde édition se publie aujourd’hui.
Le Livre des rois, par le poète persan Firdousi, publié et traduit par M. […] Ce poème, où il a appliqué son génie (et ce génie est manifeste), a paru digne, il y a quelques années, d’être publié avec luxe à Paris, aux frais du Gouvernement, dans la Collection orientale des manuscrits inédits.
monsieur, lui disait-il, si l’on ne vous connaissait pas, on vous volerait. » Vers ce temps-là, ce redoutable Rivarol avait écrit, à l’occasion de Numa Pompilius, un article si sanglant, que des amis de Florian le supplièrent de ne pas le publier. […] Je laisse de côté le reste des écrits en prose qu’il publia, ou qui parurent après lui, et dans aucun desquels il ne s’est surpassé.
Lorsque Boileau eut fait son amère satire contre Les Femmes, Perrault, mieux avisé, se constitua leur vengeur et publia une pièce de vers avec préface, intitulée L’Apologie des femmes (1694). […] Tout en les redisant à ses enfants, Perrault s’avisa de les écrire, et il les publia en janvier 1697, comme si c’était son jeune fils (Perrault d’Armancourt) qui les avait composés.