Des idées bonnes ou mauvaises qui forment ce plan d’écoles publiques, je n’en dois aucune à personne, c’est le vice de mon éducation qui me les a toutes suggérées.
Quand après une immense composition qui a excité la plus forte sensation on ne présente au public qu’une tête, je vous demande à vous-même ce qu’elle doit être.
Avertissement de la première édition imprimée en 1818 L’Essai que l’on présente au public était destiné à paraître sur la fin de l’année dernière, avant l’ouverture des Chambres.
L’opposition publique, au lieu de l’avertir ou de le retenir, ne faisait que l’exciter à faire pis. […] Ce sont ces écrivains, à son avis, qui ont gâté le goût public. […] Les ficelles mélodramatiques viennent tirer à propos son personnage pour obtenir la grimace qui fera frémir le public : « Écoutez ! […] Et comme on sent, en les lisant, qu’il leur eût fallu, ainsi qu’à Goëthe, l’aide de la culture publique et l’aptitude du génie national ! […] It was as if the house had been divided between your public and understood courtesans.
Ou encore ils font comme ces seigneurs voleurs, ces Burgraves du Rhin qui barraient le fleuve ; aucune vérité ne passe. » C'est une raison de plus pour la Revue suisse de donner à son public ce qui lui arrive de ces vérités non scandaleuses et désintéressées.
Mais le public, sans méconnaître ses autres titres çà la renommée, s’est pris d’une affection particulière pour son premier ouvrage ; lui aussi il a eu sa Pauvre Fille : l’Élégie des petits Savoyards… Trois courtes pièces de vers : Le Départ, Paris, le Retour, forment, si le mot n’est pas trop ambitieux, une trilogie touchante.
Le recueil intitulé : Les Chansons de l’année, est une sorte de journal chanté, où chaque sottise publique et privée est lestement rimée… Bien d’autres que M.