» Mais il reste sombre et il cache le journal pour qu’on ne le lise pas autour de lui.
Mais je crois qu’il est inutile et dangereux de porter dans cette étude des préoccupations étrangères à son objet propre ; je crois que les phénomènes littéraires sont assez intéressants et assez complexes en eux-mêmes pour que l’historien emploie et borne tous ses efforts à les débrouiller.
Ils ont été rendus trop heureusement dans notre langue, pour qu’on ose revenir sur cet endroit.
Cette fantaisie de chasser doit être trop fréquente chez le lion pour qu’il y ait de la justesse à employer cette expression, se mit en tête ; ce mot semble indiquer une fantaisie nouvelle ou du moins assez rare.
Ce n’est pas mathématique, ce n’est pas absolument certain, mais il y a des chances pour que cela soit.
J’ai souvent rêvé d’un moyen à trouver pour que l’Académie fût déliée de la fidélité qu’elle doit aux intentions des testateurs. […] Je suis pour qu’on parle sérieusement des choses qui resteront toujours sérieuses ; mais la mesure dans laquelle M. […] Oui ; mais il faut qu’on en soit sorti et qu’on y soit rentré, pour qu’elles soient remplies. […] — V : Quel emploi peut-on faire, en général, de l’allégorie, pour qu’elle soit un langage intelligible à tous les citoyens ? […] Ce qu’il fait, c’est, à peu près, ce qu’il faut faire pour que la race dure et se soutienne.
Pour qu’il y ait une crise, et une crise importante, il est nécessaire que des passions soient en présence, très nettes, très vives, et des caractères très marqués. […] Pour qu’une crise apparaisse, aiguë et saillante, il faut que les personnages voient une idée fortement, et qu’ils n’en voient qu’une seule. […] Pour qu’une phrase où ils décrivent cet objet leur paraisse exacte, elle doit reproduire ce contour et cette saillie. […] Mais pour que cette sorte de résurrection intérieure du détail essentiel s’accomplisse, la volonté n’y doit point avoir de part. […] J’ajouterai tout de suite qu’il est gâté par un défaut, suffisant pour que le lecteur ait presque le droit de ne pas en apercevoir les qualités.