Enfin une joie très vive porte à sauter et à danser. […] La porte tout à coup s’ouvrit bruyante et claire... […] Pour prendre un autre exemple du même genre, fait-on attention à une porte qui grince ou à une mouche qui bourdonne quand on écoute une symphonie d’un maître ? […] Il faut que chaque mot porte, et que l’ensemble du vers vibre comme une corde d’instrument bien tendue. […] Par compensation, les syllabes sur lesquelles il ne porte pas tendent à se raccourcir.
Eudore Soulié, « qu’il porte la trace des basses sensualités du temps » ; que « ces joues, ces lippes épaissies n’expriment que trop bien un pesant amour de la chair ?
En même temps que le corps se contracte par les frimas, la pensée se replie aussi sur elle-même ; la sensation du froid porte au repos, et le repos à la réflexion.
Une mazarinade porte ce titre : Rymaille des plus célèbres Bibliotières (bibliothèques).
Placer donc comme la providence le place, dans l’ombre, grinçant des dents à tous les sourires, ce misérable intelligent et perdu qui ne peut que nuire, car toutes les portes que son amour trouve fermées, sa vengeance les trouve ouvertes.
Ce barbarisme le fit accompagner & huer jusqu’à la porte du collège.
Qui lui aurait donné cette douceur, si ce n’était une religion humaine qui porte toujours au respect pour la faiblesse ?