/ 2457
747. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » p. 118

Il a travaillé pour le Théatre François & pour le Théatre Italien, en société avec des Gens d’esprit, & ses Pieces ont fait plaisir dans leur nouveauté.

748. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » p. 388

Dans le cours de l’Ouvrage, on suit avec plaisir un Traducteur habile, qui, sans être l’esclave de son Original, en offre le véritable sens, embelli par les graces d’un esprit aussi élégant qu’éclairé.

749. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 493

On peut lire avec plaisir ses Odes Latines, sans croire, avec Ménage, qu’elles sont supérieures à celles de Santeuil, qu’il est difficile de surpasser.

750. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — P. — article » p. 529

Le bon Soldat, le Baron de la Crasse, sont les seules Comédies de Poisson qui soient restées au Théatre, mais elles ne sont pas les seules qu’on puisse lire avec plaisir.

751. (1759) Salon de 1759 « Salon de 1759 — Deshays » p. 101

Je l’imagine avec plaisir.

752. (1859) Cours familier de littérature. VII « XLIe entretien. Littérature dramatique de l’Allemagne. Troisième partie de Goethe. — Schiller » pp. 313-392

La maison que mon souverain m’avait destinée dans la ville était presque habitable : cependant il m’avait réservé le plaisir de la faire achever et distribuer à ma guise. Bientôt j’eus le plaisir d’y recevoir, en qualité de commensal, Henri Mayer, ce digne artiste dont j’avais fait la connaissance à Rome. […] Guillaume de Humboldt, le frère aîné du savant célèbre, partage le plaisir de Schiller. […] La patience allemande, qui ne dispute pas le temps à son plaisir, pouvait seule s’accommoder de ces développements démesurés du drame réfléchi. […] Le plaisir, en France, court plus vite que le temps ; il n’attend personne, pas même le génie.

753. (1863) Cours familier de littérature. XVI « XCVIe entretien. Alfieri. Sa vie et ses œuvres (1re partie) » pp. 413-491

Mon plaisir le plus vif, c’était la musique des bouffes au théâtre nouveau ; mais toujours cette mélodie, si délicate qu’elle fût, me laissait dans l’âme un long et triste murmure de mélancolie ; et alors s’éveillaient en moi, par milliers, les idées les plus sombres et les plus funestes. J’y trouvais un plaisir amer, et j’allais m’en nourrir solitairement sur les plages retentissantes de Chiaja et de Portici. […] Tout le jour, je courais dans ces petits cabriolets si divertissants, pour voir les merveilles qui étaient à quelque distance ; pour les voir, non, je n’en étais aucunement curieux, et d’ailleurs je n’y entendais rien, mais pour le plaisir de la route. […] « Cependant, pour faire l’essai de ma nouvelle et pleine indépendance, le carnaval à peine fini, je voulus absolument m’en aller seul à Rome. » VII De Rome à Venise, sans plus de profit ni de plaisir, il ne sent rien et ne fait rien sentir. […] Vainement fit-il notifier au cardinal secrétaire d’État l’arrivée du roi et de la reine d’Angleterre ; on n’était plus au temps de Clément XI, et le sage Clément XIV, assis alors sur le siège de saint Pierre, ne voulait pas exposer le gouvernement romain à des difficultés graves pour l’inutile et dangereux plaisir de protester contre les arrêts de l’histoire.

/ 2457