Nattier Il est de 5 pieds sur 4.
Après, dans une autre salle, étroite, haute comme une tour, j’étais attaché par les pieds, la tête en bas, nu, sous une cloche de verre, et il me tombait sur le corps une masse de petites étincelles, d’une lumière verdâtre, qui m’enveloppaient la peau, et qui à mesure qu’elles tombaient, me procuraient le sentiment de fraîcheur d’un souffle sur une tempe baignée d’eau de Cologne. […] Et je vois encore celui qui marchait en tête, un Cupidon faunin, nimbé par le rond d’un tambourin, et le rire aux lèvres, se balançant d’un pied sur une outre. […] Il avait aussi pensé, pour un Tribunal, à une sorte de triptyque, au milieu duquel il aurait peint, de grandeur nature, une Justice, à la chevelure blonde rappelant le souvenir d’une perruque du Parlement, à la robe rouge, imitant la robe de la Cour de cassation, le pied nu posé sur un glaive, assise sur un siège de marbre, où une tête de lion et une tête de mouton décoreraient les deux bras, et, derrière elle, les toits, les clochers, les dômes, les coupoles d’une vaste cité. […] On dirait la plante du pied de l’Amour chatouillée par le Midi. […] Le père sur un fauteuil à côté du lit de sa femme, et le fils dans un lit de sangle, en travers du pied du lit de sa mère.
dit le maître de quart, en frappant du pied avec rage. […] On se tient de la tête aux pieds… Le collage enfin ! […] La jeune femme était assise dans un fauteuil, au pied du lit. […] D’un geste auguste, il jetait le chat aux pieds de la cuisinière, qui disait : « Oh ! […] … L’eau mouillait ses pieds.
Après le massacre des citoyens, pendant que nos pieds glissaient encore sur le sang répandu, nous aurions abandonné le soin des blessés, oublié les souscriptions pour les parents des morts ; les pouvoirs de la société auraient négligé de régler le présent qui seul nous appartient, pour discuter où on placerait le berceau d’un enfant, les thèmes qu’on lui ferait faire, et les petits honneurs à lui rendre. […] « A l’apparition des Ordonnances, ajoute-t-il, nous serions-nous portés vers le Parlement comme au temps de la Fronde, pour le supplier d’aller se jeter aux pieds du roi, afin de lui faire entendre la vérité, au moins pour la dernière fois, et de lui porter des propositions de conciliation ?
Toute la joie est éparse à tes pieds ; qu’importe qu’autour de toi les choses soient vaines, si ton idée de chacune d’elles contient la joie d’un acte où ton être encore va grandir ! […] La vie est à nos pieds ; elle passe, mais l’ensemble de ses apparences subsiste au moins l’espace d’un long instant ; le Poète reporte son idéal dans la vie présente, et sans voir qu’il a passagèrement déchu, il veut créer une Beauté qu’il imagine vivante et mortelle comme il croit vivante et mortelle cette vie. — Il ignore encore, et peut-être l’ignorera-t-il toujours, qu’il n’a lui-même d’autre terme que l’infini ; la Vie, il ne la voit encore que comme une chose relative et concrète.
Fiurelli (Scaramouche), à quatre-vingt-trois ans, donnait encore un soufflet avec le pied. Thomassin (Tommaso-Antonio Vicentini), le fameux Trivelin du dix-huitième siècle, lorsque, valet de Don Juan, son maître l’obligeait à faire raison à la statue du commandeur, faisait la culbute, le verre plein à la main et retombait sur ses pieds sans avoir répandu une goutte de vin.
Toi, Marca, tiens-lui ferme les pieds, qu’il ne puisse faire un mouvement. […] Un personnage qui paraît avoir pris pied dans la comédie régulière avant de passer dans la comédie de l’art, c’est le Parasite.