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305. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre III. La Déformation de l’Idéal classique (1720-1801) » pp. 278-387

Mme de Staël, De l’Allemagne, 1re partie, ch.  […] Confessions, partie II, livre 9, sous la date de 1756]. […] La Harpe, Cours de littérature, partie I, livre I, chap. 5]. […] 3º Ses romans : Pharsamon, 1712, mais publié seulement en 1737 ; — Les Effets surprenants de la sympathie, 1713-1714 ; — La Voiture embourbée, 1714 ; — la Vie de Marianne, en onze parties, 1731-1741 [La douzième partie, qui ne figure pas dans toutes les éditions, est de Mme Riccoboni] ; — et Le Paysan parvenu, en cinq parties, 1735-1736. […] — et aussi qu’avec des parties de talent, il en a eu de sottise ?

306. (1898) Introduction aux études historiques pp. 17-281

Chercher, recueillir les documents est donc une des parties, logiquement la première, et une des parties principales, du métier d’historien. […] Cela dépend de la partie de l’histoire qu’il se propose d’étudier. […] Le style de toutes les parties du document est-il uniforme ? […] Or les choses passées ne ressemblaient qu’en partie aux choses présentes, et ce sont justement les parties différentes qui font l’intérêt de l’histoire. […] C’est une des parties les moins avancées de la construction historique.

307. (1765) Articles de l’Encyclopédie pp. 11-15754

Il est long dans mâtin, gros chien ; & bref dans matin, premiere partie du jour. […] Notre Langue n’a point de cas, la Logique a quatre parties, &c. […] Cependant une grande partie de notre Philosophie n’a point d’autre fondement que l’analogie. […] dont ils font un grand usage ; ce mot est en Grec une partie spéciale d’oraison. […] afin qu’il ne fût pas privé d’une partie de nos biens : non hoc de nihilo est, Ter.

308. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 326-344

Il vous dira qu' il doit gouverner comme la Nature, par des principes invariables & simples, bien organiser l'ensemble, pour que les détails roulent d'eux-mêmes ; qu'il doit, pour bien juger d'un seul ressort, regarder la machine entiere, calculer l'influence de toutes les parties les unes sur les autres & de chacune sur le tout, saisir la multitude des rapports entre les intérêts qui paroissent éloignés ; qu'il doit faire concourir les divisions même à l'harmonie du tout, veiller sans cesse à retrancher la somme des maux qu'entraînent l'embarras de chaque jour, le tourment des affaires, le choc & le contraste éternel de ce qui seroit possible dans la Nature & de ce qui cesse de l'être par les passions *. […] Dans l'Eloge du Chancelier Daguesseau, après avoir dit, en parlant des Loix qui furent faites pour le Peuple, lorsque nos Rois l'eurent délivré de la tyrannie des Nobles, que cette nouvelle partie de la législation choquoit les principes ou les abus de la législation féodale, qui, à son tour, réagissoit contre elle, que les nouveaux droits des Peuples se heurtoient contre les droits usurpés par les Nobles, que les Loix n'offroient qu'un édifice informe & monstrueux que l'on prendroit pour un amas de ruines entassées au hasard ; il poursuit en ajoutant, que cet immortel Chancelier crut qu'au lieu de renverser tout à coup ce grand corps, il valoit mieux l'ébranler peu à peu ou le réparer insensiblement sur un plan uniforme & combiné dans toutes ses parties. […] Tout ce que le torrent des âges a emporté, se reproduit à ses yeux…… Il voit la durée comme un espace immense dont il n'occupe qu'un point, il calcule les jours, les heures, les momens ; il ramasse toutes les parties, &c.

309. (1773) Essai sur les éloges « Chapitre IX. Suite des éloges chez les Grecs. De Xénophon, de Plutarque et de Lucien. »

La Grèce, qui dans ce siècle produisit une foule de grands hommes, n’en a point eu qui ait été plus souvent, ni mieux loué que Socrate ; il est même à remarquer qu’un simple citoyen d’Athènes est devenu plus célèbre que beaucoup de princes qui, les armes à la main, ont changé une partie du monde. […] Son éloge d’Agésilas est divisé en deux parties ; la première n’est qu’une espèce de récit historique ; l’orateur parcourt toutes les grandes actions de ce prince, ses guerres, ses victoires et les principaux événements de sa vie. […] La première partie est un récit. […] La conversation s’engage ; en parlant chacun de celui qu’ils veulent louer, une partie de l’éloge se fait ; le reste est un dialogue entre Antipater, tyran de Macédoine, et un officier qu’il avait envoyé pour s’assurer de Démosthène.

310. (1861) Cours familier de littérature. XI « LXIVe entretien. Cicéron (3e partie) » pp. 257-336

Cicéron (3e partie) I Les savants disent que l’atmosphère dont la terre est entourée a deux régions distinctes selon la distance à laquelle cette atmosphère se déroule autour de notre globe, et qu’ainsi, pendant que la partie de cet air ambiant qui touche à la terre est agitée, troublée, souvent bouleversée par les vents, les nuées, les orages, l’autre partie, la partie la plus haute de l’éther, ne sent pas ces convulsions aériennes, mais demeure calme et impassible dans une éternelle sérénité. […] En la poussant, cette voix, contre les dents et contre d’autres parties de la bouche, elle articule, elle rend les sons distincts. […] D’ailleurs, pour manger des animaux terrestres, des aquatiques et des volatiles, nous en avons partie à prendre, partie à nourrir. […] Tu les vois semés sur toutes les parties de cette sphère, perdus aux distances les plus lointaines, sur les plans les plus opposés. […] Semblable à ce Dieu éternel qui meut l’univers en partie corruptible, l’âme immortelle meut le corps périssable.

311. (1922) Gustave Flaubert

Une partie de l’humour de Flaubert, surtout dans sa correspondance, vient de là. […] On a pu s’en étonner, estimer que les deux parties ne se raccordaient pas. […] On conçoit fort bien que le livre ait pu être écrit en partie pour lui. […] Les femmes ne font qu’une partie de sa vie, la partie féminine de ses amitiés et de ses connaissances. […] Ils le conduisent dans la troisième partie, celle des hérésies, faite à coups de livres, et dans la quatrième partie, celle des dieux, très inégale.

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