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339. (1857) Causeries du samedi. Deuxième série des Causeries littéraires pp. 1-402

il y a presque de la malice à indiquer ainsi à la critique le parti qu’elle pouvait tirer des circonstances, quand on songe à ce qu’elle en a fait. […] Ces partis ne sont pas les nôtres. […] Chaque parti d’ailleurs entend son honneur à sa manière, et l’on ne doit pas blâmer ceux qui regardent certaines alliances comme plus compromettantes et plus onéreuses que certaines inimitiés. […] Ses admirateurs doivent d’autant plus se réjouir qu’il ait pris là-dessus toutes sortes de licences poétiques, et passé, en trente ans, d’un extrême à l’autre, qu’il a pu, entre ces deux extrêmes, profiter tour à tour, et toujours à propos, d’une foule d’inspirations différentes, et être successivement du parti de la colonne, du parti de la Révolution de juillet, du parti de la royauté de 1830, du parti de la Chambre des pairs de 1842, et du parti de la majorité réactionnaire de l’Assemblée constituante. […] nous passionner presque pour madame de Chevreuse, tout en prenant évidemment parti contre elle pour la grande et nationale politique de Richelieu et de Mazarin.

340. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 508

Claude, [Jean] Ministre Protestant, né à Sauvera en Agenois en 1619, mort à la Haye en 1687, fut une des meilleures plumes du parti Protestant.

341. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » p. 59

On ne peut pas dire que ce Traité soit complet & exempt de défauts ; mais un Ecrivain habile, qui sauroit en conserver les matériaux, les employer avec plus de discernement & de critique, auroit peu de chose à faire, pour en tiret un grand parti & rendre des services précieux à cette partie essentielle de tout Gouvernement éclairé.

342. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — N. — article »

Un Auteur qui en écarteroit le goût du merveilleux & la bizarrerie du style, pourroit en tirer un grand parti.

343. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article »

C'est que l'Auteur étoit protégé par un parti qui le prônoit.

344. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — M — Marlow, Georges (1872-1947) »

Marlow a su tirer un parti peu banal et très charmant de l’octosyllabique.

345. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 395

Il paroît que M. de Voltaire en a tiré parti dans ses Questions sur l’Encyclopédie, où il raisonne sur toutes les matieres à sa façon, c’est-à-dire, plus pour satisfaire sa démangeaison d’écrire, que pour dire des choses vraies, bonnes & neuves.

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