Daté sur le manuscrit de la fin de l’automne 1926, le texte paraît à Marseille dans la revue d’André Gaillard, Les Cahiers du Sud n°6, avec un portrait de l’auteur par Tchelitchev ; l’achevé d’imprimer est du 5 décembre 1927. […] Elle cite un article plus que sceptique et distant de Crevel, « Après Dada », paru dans Les Nouvelles littéraires du 9 février 1924, André Breton et la naissance de l’aventure surréaliste, José Corti, 1975, p. 378, n. 155. […] L’assimilation du progrès matériel à la culture allemande peut paraître assez opportuniste quand tant de discours de haine ont été répandus contre l’Allemagne, ses philosophes et ses musiciens. […] Légitime défense paraît en brochure en septembre 1926, puis dans La Révolution surréaliste en décembre 1926. […] L’expression « poète maudit » vient du recueil de Verlaine, Les Poètes maudits, paru en 1888.
Il paraît qu’il a été mis dans un roman, et tout de même qu’il ne connaît pas son A. […] Il ne paraît point croire que l’amitié puisse vivre, si elle n’est également partagée. […] Jules Barbey d’Aurevilly ne veut point paraître notre contemporain. […] Bourget. — Depuis Mensonges, Le Disciple a paru. […] Millet et parue trop tard pour trouver place ici.
Il paraît deux ou trois fois aussi grand que l’Hippodrome. […] C’est, paraît-il, « l’Arabe Gouma, psylle de la secte des Raffaï ». […] Il ne me paraît pas que vous nous l’ayez jamais dit avec précision. […] Le divertissement a dû lui paraître à peu près nul. […] Cela paraît plus juste, oui.
Le vrai curare paraît conserver son activité d’une manière indéfinie, même à l’état de solution dans l’eau. […] Dans la mort par le curare, rien de pareil ; il n’y a pas d’agonie, la vie paraît s’éteindre. […] Un simple sommeil paraît être la transition de la vie à la mort. […] Ce moyen sauva l’ânesse ; elle se leva et marcha sans paraître éprouver ni agitation ni douleur. […] Cette réponse paraît plaisante ou absurde ; elle est cependant la seule qu’on pourrait faire.
L’énergie qui n’est pas doublée de sensibilité me paraît ressembler à la brutalité, de même que la force qui n’est pas doublée de justice me paraît ressembler à l’inhumanité. […] Il y a une notable différence entre la folie et l’hallucination, qui nous paraît la véritable maladie de don Quichotte. […] C’est parce qu’il n’a jamais manqué un seul jour à l’application de cette maxime qu’il nous paraît froid et insensible. […] Mais en vérité tout cela me paraît bien enfantin. […] Il n’avait qu’à paraître, et pour un moment tous les cœurs lui étaient conquis, toutes les coupes lui étaient tendues.
Elle me paraît aussi stérilisante que l’ancien cahier d’expressions. […] Le procédé me paraît bon et bien des gens n’en ont pas d’autres. […] Émile Zola de l’avoir déclaré « rococo » ; Bossuet lui-même leur paraît petit. […] Plus nous avons réfléchi, plus elles nous ont paru résumer les principes mêmes de l’art d’écrire. […] Il ne paraissait, au-dessus, ni mât, ni manœuvre.
Il avait beau se surveiller, il avait des silences expressifs et éloquents, ou des énergies d’expression qui emportaient la pièce ; « il lui échappait d’abondance de cœur des raisonnements et des blâmes. » Quand on le lit aujourd’hui, on n’a pas de peine à se figurer ce qu’il devait paraître alors. […] Il mourut quand Voltaire régnait, quand l’Encyclopédie avait commencé, quand Jean-Jacques Rousseau avait paru, quand Montesquieu ayant produit tous ses ouvrages venait de mourir lui-même. […] Tout le monde se mit si fort à rire qu’il fallut qu’il s’en allât. » Si un jour il se publie des mémoires sur la Régence, si les mémoires politiques du duc d’Antin et d’autres encore qui doivent être dans les archives de l’État paraissent, il y sera certainement fort question de Saint-Simon. […] De 1788 à 1791, puis plus tard en 1818, il en parut successivement des extraits plus ou moins volumineux, tronqués et compilés. La marquise de Créquy, à propos d’une de ces premières compilations, écrivait à Sénac de Meilhan97 (7 février 1787) : « Les Mémoires de Saint-Simon sont entre les mains du censeur ; de six volumes on en fera à peine trois, et c’est encore assez. » Et, un peu plus tard (25 septembre 1788) : « Je vous annonce que les Mémoires de Saint-Simon paraissent, mais très mutilés si j’en juge par ce que j’ai vu en trois gros tapons verts, et il y en avait six.