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1256. (1889) Histoire de la littérature française. Tome IV (16e éd.) « Chapitre deuxième »

Dans lanthéorie du bon assaisonné, le vrai n’est pas même nommé.

1257. (1913) Les antinomies entre l’individu et la société « Chapitre XII. L’antinomie morale » pp. 253-269

., ne manquera pas de se déclarer scientifique ; il se nommera art-moral-scientifique et se donnera l’autorité un peu insolente que se donne tout ce qui est scientifique ou qui croit l’être.

1258. (1863) Histoire des origines du christianisme. Livre premier. Vie de Jésus « Chapitre XXVIII. Caractère essentiel de l’œuvre de Jésus. »

La Mischna, d’un autre côté, n’offre aucune trace de l’école nouvelle ; les passages des deux Gémares où le fondateur du christianisme est nommé ne nous reportent pas au-delà du IVe ou du Ve siècle 1236.

1259. (1893) La psychologie des idées-forces « Tome second — Livre septième. Les altérations et transformations de la conscience et de la volonté — Chapitre premier. L’ubiquité de la conscience et l’apparente inconscience »

Il y a des systèmes de mouvements, comme ceux du violoniste, qui sont enchaînés par l’habitude : la plus petite excitation du premier anneau de la chaîne produit une déchargé le long des autres anneaux, mais cette excitation, en certains cas, peut n’avoir ni le degré d’intensité ni le degré de distinction nécessaire pour être reconnue et nommée par le moi.

1260. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1852 » pp. 13-28

Les gérants, à cent sous la signature, se succèdent : le premier, Pouthier, un peintre bohème, ami de collège d’Edmond, est remplacé par un nommé Cahu, un être aussi fantastique que son nom, et qui est libraire philologique dans le quartier de la Sorbonne et membre de l’Académie d’Avranches ; et Cahu cède la place à un ancien militaire, auquel un tic nerveux fait à tout moment regarder la place de ses épaulettes et cracher par-dessus ses deux épaules.

1261. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1854 » pp. 59-74

Turcas a une petite maison embuissonnée de roses grimpantes, un jardin de vingt-cinq pas au milieu duquel se dresse un divan en terre gazonnée, une maîtresse qui est la belle et grande fille du Palais-Royal, nommée Brassine, deux ou trois canots avec lesquels nous courons la mer, et encore, sur la plage, une cabane en planches où, dans une flânerie délicieuse, l’on fume des pipes, l’on boit des grogs ; pipes et grogs sans fin.

1262. (1864) William Shakespeare « Conclusion — Livre II. Le dix-neuvième siècle »

C’est ce qu’on nomme la Révolution.

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