Ce qui le prouve c’est que, en ce moment, plusieurs poètes affirment leur beau talent en pratiquant les vers libres, tandis que d’autres se prouvent des poètes aussi modernes, en restant dans l’ancienne prosodie, aérée en tout cas. […] Voici, parmi les jeunes, celui que tous s’accordent à considérer comme le véritable promoteur du Vers libre moderne ou plutôt libertaire, du Vers affranchi de la rime et de la traditionnelle mesure. […] Le très mystique poète qui, pour les âmes naïves, les âmes saintes, se plut à édifier en magnificences, simples toujours, mais modernes, les légendes de la Légende Dorée, M. […] Cela ne l’empêchera point d’être moderne, tout au contraire. […] La voici : Monsieur et cher confrère, … « Les Poètes modernes ont introduit la plus grande liberté dans la versification.
. — Masques modernes (1890). — Le Cœur (1890). — Le Mandarin, 1re partie, Marquisette (1895). — Le Mandarin, 2e partie, Un maître (1896) ; 3e partie, L’Épouvante (1896). — La Chanson du moulin à vent (1897). — La Glaneuse (1897). — Un gueux (1898). — Régina Sandri (1898). — La Fleur (1898). — Poupée japonaise (1899).
On voit de quels systèmes modernes se réclame une telle philosophie ; mais les vers de M.
Collaboration à Lutèce, aux Écrits pour l’Art (1re série), aux Entretiens politiques et littéraires, à la Jeune Belgique, à l’Art Moderne, au Mercure de France, à Floréal, à l’Ermitage, à la Société Nouvelle, à la Revue Blanche, etc.
Il s’agissoit de prouver cette Proposition, les progrès des Modernes ne dispensent pas de l’étude des Anciens.
Un Abbé du même nom, Auteur d’un Ouvrage, intitulé Dialogue entre les Philosophes modernes, publia, en 1779, un Libelle contre nous, sous le titre de Problême littéraire, où il s’efforçoit de prouver qu’un Vicaire de Paroisse, mort deux ans auparavant, & qui n’a pas laissé un seul Prône digne d’être imprimé, étoit l’Auteur des Morceaux les moins foibles des Trois Siecles.
Aujourd’hui ses Poésies sont oubliées, & ne le méritent pas, à en juger par celles qui sont contenues dans un Recueil imprimé en 1660 chez Charles de Sercy, & dont le cinquieme volume commence par une Ballade de ce Poëte, qui feroit honneur à nos Anacréons modernes.