Sainte-Beuve Boulay-Paty était un vrai poète, c’est-à-dire qu’il était cela et pas autre chose ; il avait le feu sacré, la religion des maîtres, le culte de la forme ; il a fait de charmants sonnets dont je comparais quelques-uns à des salières ciselées, d’un art précieux ; mais les salières n’étaient pas toujours remplies ; il avait plus de sentiment que d’idées.
On est assez constamment dans le cas de remarquer que les Eleves des Grands Maîtres sont toujours, ou presque toujours, des hommes médiocres.
C’est une chose très particulière, en vérité, que cette science du métier qu’ont même de très jeunes poètes, attentifs aux leçons données par les maîtres comme Théodore de Banville.
En souvenir et en reconnaissance de cette constante harmonie qui m’a rendu facile et douce la carrière de professeur en pays étranger, j’ai voulu laisser à ceux et à celles dont je fus le maître un instrument de travail que j’eusse éprouvé par un long usage et qui leur permit de se passer de moi.
Ce Ministre, plus jaloux du maintien de sa faveur, que du salut de son Maître, éloigna le P.
Ses deux Traités de la Poésie & de l’Eloquence, sont une répétition inutile des préceptes des grands Maîtres anciens & modernes.
Le lieu vraiment maître du pays, ce n’était pas la ville, c’était la résidence du grand seigneur. […] Comme les littérateurs d’aujourd’hui, les maîtres d’autrefois éprouvent en Flamands et traduisent en Latins. […] Il se tenait à califourchon sur ce vivant dont il était absolument maître. […] Dans l’ignoble taudis d’un brocanteur, Kobus Barent aperçoit des tableaux et gravures du Maître. […] Même, lorsqu’une toile de maître l’enthousiasme (je songe au voyage en Espagne), il la « copie » en vers.