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1864. (1890) Journal des Goncourt. Tome IV (1870-1871) « Année 1870 » pp. 3-176

Et comme antithèse à ces amoureuses de grand chemin, deux charmantes femmes assises par terre, à côté d’un élégant officier, jouant avec la marquise de l’une d’elles. […] Il y a tout un canapé de femmes, dont l’une qui fait les honneurs du salon, est une vieille femme, aux cheveux d’argent, dans une robe feuille morte, et qui montre, par un cœur très évasé, un grand morceau de sa vieille peau : une femme qui a de la marquise d’autrefois et de la cabotine d’aujourd’hui.

1865. (1949) La vie littéraire. Cinquième série

L’une des deux, le portrait de M. de Laneuville, est une des œuvres les plus parfaites de l’école française. […] Ailleurs, il fait paraître deux dames qui ne pouvaient se voir ; l’une n’entrait jamais dans la maison qu’après que l’autre l’avait quittée. […] La fleur des eaux — la fleur des cieux — fleurissent, l’une Son blanc pétale — et l’autre son — rayon blafard ; Le nénuphar — en bas reluit — comme la lune, La lune en haut — s’étale comme — un nénuphar.

1866. (1867) Cours familier de littérature. XXIII « cxxxvie entretien. L’ami Fritz »

Dans l’une était le linge de table, aussi beau qu’il soit possible de le désirer, sur une infinité de rayons ; dans l’autre, la vaisselle, de cette magnifique porcelaine de vieux saxe fleuronnée, moulée et dorée : les piles d’assiettes en bas, les services de toute sorte, les soupières rebondies, les tasses, les sucriers au-dessus ; puis l’argenterie ordinaire dans une corbeille.

1867. (1867) Cours familier de littérature. XXIV « CXLIIe entretien. Littérature cosmopolite. Les voyageurs »

Ce colophon, qui est d’une notable grosseur, est composé de boules de diverses grosseurs, posées l’une sur l’autre, et paraît d’en bas avoir plus de vingt pieds de haut, avec le croissant.

1868. (1889) Histoire de la littérature française. Tome II (16e éd.) « Chapitre septième »

Il restait à développer la plus touchante des passions, l’amour, soit qu’il s’assujettisse la raison et triomphe du devoir229; soit que, dans sa lutte avec l’une et l’autre, il s’autorise de la fatalité ou essaye du crime pour leur résister230 ; soit que, chaste et innocent, l’issue d’événements plus forts que lui le rende heureux ou malheureux231.

1869. (1888) Journal des Goncourt. Tome III (1866-1870) « Année 1866 » pp. 3-95

Marchal nous raconte, ce soir, dans la chambre de Giraud, que, pêchant à la ligne, sur les quatre heures du matin, à Sainte-Assise, chez Mme de Beauvau, il aperçut se baignant deux jeunes filles ; l’une brune, l’autre rousse.

1870. (1906) La nouvelle littérature, 1895-1905 « Troisième partie. Dictionnaire » pp. 243-306

. — L’Une et l’Autre, 1 acte en prose.

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