/ 2456
658. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — D. — article » pp. 184-186

Si l’on veut savoir comment on pensoit de son temps sur cet étrange personnage, on peut en juger par cette Lettre d’un certain Jean Angeodanus, où l’on ne trouvera pas la politesse du style, mais une peinture assez fidele d’un Athée.

659. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — L — article » pp. 55-57

Après l’avoir célébrée pendant sa vie, il la célébra après sa mort, & l’on soupçonneroit son amour ou ses regrets d’avoir été très-foibles, à en juger par les Vers que M.

660. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome III « Les trois siècle de la littérature françoise. — M. — article » pp. 167-169

Il est du nombre des Gens de Lettres estimables, qui ne sont pas de l’Académie Françoise, & qui ne seroient jugés que plus dignes d’en être, par le suffrage du Public, si les vrais talens étoient toujours des titres pour y parvenir.

661. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — T. — article » pp. 353-355

Il ne s'est pas contenté d'accorder aux uns des Statues, aux autres des Médaillons, dans la Description qu'il a donnée en un volume in-folio, de ce Monument patriotique, il a inséré un extrait de la vie, & donné le Catalogue des Poésies de ceux qu'il a jugés dignes d'y avoir place.

662. (1895) Les règles de la méthode sociologique « Introduction »

On pourra mieux juger ainsi de l’orientation que nous voudrions essayer de donner aux études de sociologie.

663. (1823) Racine et Shakspeare « Préface » pp. 5-7

Préface Rien ne ressemble moins que nous aux marquis couverts d’habits brodés et de grandes perruques noires, coûtant mille écus, qui jugèrent, vers 1670, les pièces de Racine et de Molière.

664. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 13-15

Ce Ministre qui savoit mieux récompenser que juger les talens, lui fit un jour présent de six cents livres pour six mauvais vers qu’il lui avoit lus ; libéralité que Colletet paya par ce Distique, aussi naturel qu’ingénieux.

/ 2456