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366. (1939) Réflexions sur la critique (2e éd.) pp. 7-263

Le jugement de M.  […] Je ne saurais souscrire ici au jugement de M.  […] Je ne veux pas discuter son regrettable jugement. […] Admettons pareillement, à propos des Jugements de M.  […] Si le jugement de M. 

367. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome III pp. -

J’approuve fort le jugement qu’ils en ont porté, & je vous en envoie un exemplaire. […] Tournemine s’appuie encore du jugement de ces docteurs. […] Il n’étoit pas possible que le pape portât un jugement certain sur la question présente. […] Jansénius mourant le soumit au jugement de l’église. […] La Sorbonne voulut connoître de ce jugement.

368. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 463

Cette Histoire contient leurs Vies, le catalogue, la critique, le jugement, la chronologie, l’analyse & le dénombrement des différentes éditions de leurs Ouvrages.

369. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — E. — article » p. 250

Cet Ouvrage, d’une utilité reconnue, suppose autant de travail & de mémoire, que de goût & de jugement.

370. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » p. 315

Son imagination, il est vrai, n’étoit pas toujours réprimée par le jugement, & ses Sermons ne sont pas irréprochables du côté de l’affectation & de la singularité : malgré cela, on a su en extraire un grand nombre de pensées dont on a formé un Recueil, que les Orateurs Chrétiens peuvent lire avec fruit.

371. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — C — article » p. 430

Ce jugement regarde sur-tout ses Poésies, qui consistent dans des Déclarations d’amour à Iris, des Bouquets, des Epîtres, des Chansons licencieuses aussi méprisables par la versification que par le sujet.

372. (1858) Cours familier de littérature. VI « XXXVe entretien » pp. 317-396

On m’a reproché souvent, dans des jugements sur ma vie, de n’avoir pas été assez ambitieux ! […] Ce simple exposé suffirait pour faire porter un jugement sans appel, et sur leur nature, et sur l’objet qu’on se propose en les pratiquant ; mais, comme on a déjà beaucoup écrit sur cette matière, et que le pour et le contre ont eu des partisans outrés, je crois, tout bien considéré, qu’il est inutile de redire ce qui a été dit cent et cent fois. » Il les caractérise néanmoins parfaitement, dans un autre volume de ses Mémoires, comme des rites purement civils et honorifiques, n’impliquant d’autre culte que le culte des souvenirs et de la vénération pour la mémoire de Confucius. […] L’histoire est le miroir de ma conscience : dans les autres je vois ma propre image, et j’entends, dans le jugement que je porte de mes prédécesseurs, le jugement qu’on portera de moi-même. » « Ces sortes de journaux sont dans les mœurs de la nation chinoise. […] Le souverain, le premier, subit le despotisme de la philosophie de Confucius, un des sages, des lettrés qui perpétuent son esprit. » Un écrit d’un des derniers empereurs de la Chine, au dix-septième siècle, commente ainsi la loi des jugements et des peines dans un style et dans un esprit que Fénelon, Montesquieu et Beccaria ne désavoueraient pas. […] X L’opinion publique y jouit de la plénitude de son jugement, par suite de ce gouvernement par la raison, et de la liberté de la presse à qui on n’interdit que le scandale, l’injure ou la calomnie.

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